Dans une mise au point parvenue ce jeudi 7 novembre 2019 à 7SUR7.CD, le directeur général de la Cité du Fleuve, Robert Choudury, dénonce une mascarade fiscale qui s’inscrit dans une "longue série de tentatives de coups et de déstabilisations portés depuis de nombreuses années contre le projet de ladite Cité et ses promoteurs afin de faire échouer ou de ravir le plus grand projet immobilier réalisé depuis des décennies à Kinshasa et en RDC".
En outre, Robert Choudury précise qu'il est important de savoir que la Cité du Fleuve est un site résidentiel et non une société.
(Ci-dessous, la mise au point)
Sur les réseaux sociaux ont récemment circulé avec une insistance suspecte des informations relatives aux soi-disant scellés apposés (pendant 90 minutes avant d'être retirés) sur La Cité du Fleuve.
Tout d’abord, il convient de souligner que La Cité du Fleuve est un site résidentiel et non une société et que, par conséquent, il apparaît difficile de poser des scellés sur 500 appartements et villas appartenant à des propriétaires privés et individuels et il apparait encore plus difficile que ces 500 propriétaires aient un quelconque rapport avec la DGI.
La DGI ou bien l’organe de presse en question ignorent-ils la différence entre une société et le nom d’un site, ou est-ce délibéré?
Il s’est agit même d’un acte illégal car la loi interdit d’empêcher la libre circulation de résidents privés pour entrer ou sortir de logements dont ils sont propriétaires en général, et encore moins pour un problème d’une société privée tierce.
Pourtant le jour de la pose des scellés, les agents de la D.G.I. ont mis leur véhicule au travers de l’entrée de La Cité du Fleuve empêchant ainsi l’entrée et la sortie des véhicules de centaines de résidents. Dans quel but ? Avec quelles motivations ? Sur instructions de qui ?
En outre, il sied de remarquer que lesdits scellés ont ensuite été apposés sur le bureau commercial d’une parmi plusieurs entreprises coopérant avec La Cité du Fleuve, ce qui est une différence notable. Et que cette entreprise ne connaît rien sur une procédure D.G.I. à son encontre. Sans compter que les montants exorbitants affichés ne sont pas préalablement documentés.
Qui plus est, le même État qui veut, au travers de la D.G.I., sceller les bureaux de cette entreprise n’a jamais rempli ne serait-ce qu’une seule de ses obligations à son égard. Le remboursement des infrastructures comme les routes internes, l’élargissement et l’entretien de la voie d’accès en sont des exemples flagrants. Alors pourquoi un tel empressement à sceller avant d’avoir fait les comptes et de savoir qui doit à qui ?
Cette mascarade fiscale, ces atteintes à la libre circulation et cette ignorance de la différence entre La Cité du Fleuve et une entreprise tierce ne semblent pas fortuites. Elle s’inscrit dans une longue série de tentatives de coups et de déstabilisations portés depuis de nombreuses années contre le projet de La Cité du Fleuve et ses promoteurs afin de faire échouer ou de ravir le plus grand projet immobilier réalisé depuis des décennies à Kinshasa et au Congo.
De quoi décourager les investisseurs : Encore un coup porté au climat des affaires qui n’avait pas besoin de cette énième atteinte à ceux qui choisissent d’investir dans notre pays. Qu’est-ce qui pousse certains à toujours vouloir ravir ce que les opérateurs économiques construisent ? Comment vouloir convaincre d’autres investisseurs à financer leurs activités en RDC alors que ce groupe financier Britannique de référence doté d’un puissant réseau international, dont La Cite du Fleuve n’est pas le seul projet en RDC ne peut que constater une succession de désillusions ?
Cet acharnement semble pour le moins étrange. En effet, dès qu’un incident survient à La Cité du Fleuve, (scellés apposés sur les bureaux d’une entreprise, montée des eaux, banale accident de voiture entre deux particuliers, conflits commerciaux, etc.) immédiatement une cohorte de médias obscurs, quasi inconnus et mal intentionnés déversent des informations erronées et à charge contre ce magnifique projet qui réussit. Ils ne démentent jamais, par la suite, leurs fausses informations, violant ainsi l’éthique journalistique la plus élémentaire.
Qui plus est, tous les jours dans notre pays, de nombreuses entreprises, parfois très grandes et très connues, se voient apposer des scellés sur leurs installations, bureaux, lieux de production (usines, ateliers) ou de ventes (commerces). Jamais lesdits pseudo médias n’évoquent ces scellés et ces autres entreprises. Curieux !
Qui sont ces gens mal intentionnés qui calomnient La Cité du Fleuve sans raison ? Quelle est la main noire qui veut nuire à ce projet ? Pour quelles obscures (ou évidentes) raisons?
Monsieur Robert Choudury
Directeur général de la Cité du Fleuve