Pour n’avoir pas voulu politiser la gestion de la DGI, Barnabé Muamba Muakadi, fait l’objet d’une campagne d’intoxication sur les réseaux sociaux. Le directeur général de la régie financière la plus performante a beau rappeler que la DGI est apolitique, mais ses détracteurs ne l’entendent pas de cette oreille. Il a beau crier haut et fort qu’il est au service de la Nation pour donner au président de la République les moyens de sa politique, ses adversaires font la sourde oreille.
Il a beau clamer que l’intérêt général prime sur l’activisme politique, mais ses pourfendeurs s’acharnent contre lui pour leurs intérêts mesquins.
Il a beau dire que la promotion des cadres et agents de l’administration fiscale se fera uniquement à l’aune du mérite, après des évaluations trimestrielles, conformément aux directives du ministère des finances, ses ennemis préfèrent qu’ils sacrifient performances sur l’autel du clientélisme. Ces personnes mal intentionnées ne s’en prennent pas qu’à lui, ils s’en prennent aussi à ses collaborateurs, accusés de tous les péchés d’Israël.
Voilà plus de 3 ans que la DGI sous la houlette de l’Apôtre Barnabé Muamba Muakadi aligne performances sur performances, faisant de la Direction générale des impôts la première pourvoyeuse des recettes publiques.
Comment y serait-il parvenu si ils n’avaient pas de bons collaborateurs qui l’épaulent dans sa lourde tâche de mobiliser des moyens financiers pour matérialiser la vision présidentielle : « le peuple d’abord » ? Sous d’autres cieux, il serait célébrer pour ses prouesses managériales au sein de son propre parti politique, même si après sa nomination, il n’est plus à son service mais à celui de la nation, en vertu du principe de la neutralité et de l’apolitisme de l’administration. Alors qu’approche le remaniement, des malins ont une armée numérique pour le diffamer en espérant qu’il ne soit pas reconduit.
Leur méchanceté n’a pas de chance d’aboutir car son professionnalisme et les résultats probants parlent pour lui. Ils ont beau mentir en allégeant notamment que le DG Barnabé Muakadi engagerait ses fidèles, qu’ils donnent du travail à des incompétents, ils ont toujours été contredits par des syndicalistes.
Car ces derniers sont les premiers témoins de l’amélioration des conditions de vie et de travail sous l’ère Muakadi dont le credo est : « l’homme au centre de toute action ».
L’opinion elle ainsi que les plus hautes autorités, voire des organisations internationales comme le Pnud, reconnaissent ses qualités de bon gestionnaire.
Kevin Kapela