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Une équipe de parlementaires britanniques séjourne depuis hier lundi 4 juillet en République démocratique du Congo. Membres de l’"International Development Committee" (IDC) - du Comité du Développement International - ces élus sont au coeur d’une mission d’évaluation à travers le territoire congolais jusqu’au vendredi 8 juillet prochain.
"Conduit par l’honorable Stephen Twigg, ce groupe parlementaire rencontrera des membres du gouvernement congolais, le président de l’Assemblée Nationale et les membres des groupes parlementaires », atteste un communiqué de presse émanant de l’ambassade du Royaume-Uni à Kinshasa. D’autres rencontres sont prévues avec des acteurs économiques du secteur privé ainsi que la communauté d’aide au développement international.
Jugée capitale, cette visite va permettre aux délégués du Comité du Développement International de constater, sur le terrain, l’impact des programmes financés par le gouvernement britannique.
C’est dans cette optique que ces émissaires du contribuable britannique vont se rendre dans les provinces du Kasaï Central et du Nord-Kivu où ils visiteront le large portefeuille des programmes de l’aide britannique dans les domaines de l’eau et assainissement, de la lutte contre la malaria, de l’éducation et du développement du secteur privé. L’occasion sera aussi propice pour s’assurer des effets des programmes de paix et stabilité. UN IMPORTANT DONATEUR
En marge de nombreuses visites de terrain, ces membres du Parlement britannique devront aussi rencontrer les gouverneurs des deux provinces qu’ils visiteront.
Avec une enveloppe annuelle d’environ £150 millions d’aide bilatérale au développement ces cinq dernières années, la RDC constitue le 5ème plus grand investissement de la coopération britannique en Afrique. Ce qui justifie l’intérêt des parlementaires britanniques à visiter la RDC. UNE STRUCTURE DE CONTROLE
Créé en 1997 en réponse à la création de la Coopération britannique (DFID), The International Development Committee surveille la politique, l’administration et les dépenses du Royaume-Uni, par le biais du ministère Britannique de la Coopération Internationale (DFID) et ses organismes publics associés.
Présidé par Stephen Twigg, député du Parti Travailliste de Liverpool et composé de onze membres du Parlement d’arrière-ban, ce comité s’intéresse aux politiques et procédures des agences multilatérales et des organisations non gouvernementales bénéficiaires des contributions de DFID. Yves KALIKAT
Jugée capitale, cette visite va permettre aux délégués du Comité du Développement International de constater, sur le terrain, l’impact des programmes financés par le gouvernement britannique.
C’est dans cette optique que ces émissaires du contribuable britannique vont se rendre dans les provinces du Kasaï Central et du Nord-Kivu où ils visiteront le large portefeuille des programmes de l’aide britannique dans les domaines de l’eau et assainissement, de la lutte contre la malaria, de l’éducation et du développement du secteur privé. L’occasion sera aussi propice pour s’assurer des effets des programmes de paix et stabilité. UN IMPORTANT DONATEUR
En marge de nombreuses visites de terrain, ces membres du Parlement britannique devront aussi rencontrer les gouverneurs des deux provinces qu’ils visiteront.
Avec une enveloppe annuelle d’environ £150 millions d’aide bilatérale au développement ces cinq dernières années, la RDC constitue le 5ème plus grand investissement de la coopération britannique en Afrique. Ce qui justifie l’intérêt des parlementaires britanniques à visiter la RDC. UNE STRUCTURE DE CONTROLE
Créé en 1997 en réponse à la création de la Coopération britannique (DFID), The International Development Committee surveille la politique, l’administration et les dépenses du Royaume-Uni, par le biais du ministère Britannique de la Coopération Internationale (DFID) et ses organismes publics associés.
Présidé par Stephen Twigg, député du Parti Travailliste de Liverpool et composé de onze membres du Parlement d’arrière-ban, ce comité s’intéresse aux politiques et procédures des agences multilatérales et des organisations non gouvernementales bénéficiaires des contributions de DFID. Yves KALIKAT