Eric Tshibasu signe pour une année avec le FC Renaissance
Après la séparation en amiable, avec Francklin Kimbongila, son ex-entraîneur, le FC Renaissance du Congo vient de convoler, en justes noces, avec Eric Tshibasu comme successeur du premier. Pour sceller cette idylle, le champion en titre de l’Epfkin a signé un contrat de travail d’une année, avec son nouveau mentor afin de suppléer à cette vacance. L’événement a eu lieu le samedi 4 juin 2016, au Stade Tata Raphaël, devant les sympathisants de cette formation. Aussi, a-t-on vu Pascal Mukuna, le président de l’écurie orange et le nouveau patron du staff technique faire leur entrée, dans cet amphithéâtre. Eric Tshibasu qui intègre le FC Renaissance, y trouvera Daouda Lopembe, l’éternel adjoint. Ce dernier a côtoyé Yvon Kitenge remercié pour être remplacé par Kimbongila.
Pascal Mukuna : « Dans deux, trois ans, Renaissance fera entendre sa voix »
« Chose promise, chose due. Nous avions fait la promesse à nos supporteurs de trouver quelqu’un à la tête du staff technique. Dieu aidant, le choix est tombé sur Eric Tshibasu. A ces sympathisants de le soutenir dans son travail. Car, nous voulons faire du FC Renaissance, un club à même et capable d’affronter n’importe quel adversaire. Et cela nécessite beaucoup de conjonction d’efforts de tout le monde. Nous sommes champions de l’Epfkin. A présent, nous convoitons la coupe du Congo. Et nous tenons mordicus au titre. Après, nous irons à la LINAFOOT avant d’entrevoir l’Afrique. Et nous y croyons. Dans deux, trois ans, Renaissance fera entendre sa voix ».
Eric Tshibasu : « A moi de restituer cette marque de confiance au président ».
« Renaissance est un grand club. J’étais très flatté quand l’Evêque m’avait contacté. C’est quelque chose de très important dans ma jeune carrière. C’est ma première aventure au pays. Auparavant, j’avais beaucoup hésité avant de m’engager. Le président avait voulu que je sois là à la création de cette équipe. J’avais été très réservé. Il est revenu à la charge et j’ai mordu à l’appât. C’est à moi de lui restituer cette marque de confiance qu’il m’a témoigné ».
(Altesse Bernetel Makambo)