La BGFIbank RDC continue à exécuter son nouveau plan stratégique malgré les allusions erronées de la lettre de la BCC (tribune)

Jeudi 25 novembre 2021 - 23:45
Image
7sur7

Depuis son implantation en République Démocratique du Congo, le Groupe BGFIBANK RDC SA ne cesse d’attirer le feu des projecteurs. 

À chaque fois que cette banque pense bâtir sa renommée et son réseau d’agences en RDC, une campagne de diabolisation est lancée par des personnes mal intentionnées pour saboter ses efforts. Les auteurs et les exécutants de la campagne de déstabilisation contre BGFIBANK RDC SA, doivent savoir que chercher à déstabiliser cette banque de renommée panafricaine est un risque qui doit-être analysé au-delà même d’un simple horizon partisan. 

Contrairement à une certaine opinion qui s’est lancée dans une interprétation particulièrement de l’alerte lancée par Mme le gouverneure de la Banque centrale du Congo sur la BGFIBANK RDC, il y a lieu d’apporter un cinglant démenti sur ces allusions qui ont pu biaiser le jugement de l’opinion tant publique que celle de ses journalistes ou analystes qui se sont penchés sur ce dossier, emportés sans doute par la passion et les illusions avancées par la campagne des médias internationaux en cours dont le seul but est de discréditer la BGFIBANK RDC qui ne gêne pas de revendiquer son appartenance africaine.

« Par quelle coïncidence la lettre de la BCC se retrouve sur la place publique, juste au moment du lancement de cette campagne internationale contre BGFIBANK RDC ! » Quelle synchronisation ? 

Après recherche et analyse sans passion de la correspondance de la Banque Centrale du Congo faisant état de la situation de BGFIBANK RDC SA, il semblerait que les spéculations, créant équivoque sur des éventuels problèmes de rentabilité et de détérioration de sa situation au point de préoccuper l’autorité de régulation et de contrôle, soient erronées.

« Cette lettre qui est une correspondance authentique de la BCC rapporte l’invitation de la Banque Centrale du Congo à BGFIBank RDC pour une séance de travail habituelle, en y relevant les points de discussion à étudier », indiquent les sources internes à l’Autorité de Contrôle.

La coutume veut qu’après transmission des états et reportings de toutes les banques auprès de la BCC, qui est l’autorité de surveillance de toutes les institutions financières du pays, un courrier ordinaire est adressé par la Banque Centrale du Congo à toutes institutions financières concernées par des points d’attention particulières, afin de les relever pour sujet d’échange, par rapport aux états et rapports préalablement transmis. 
C’est dire que cette lettre de la Banque Centrale adresse ses constats à BGFIBank RDC sur les charges de structures élevées et qui absorbent l’essentiel de sa production bancaire, une charge de structure due à ses investissements et ambition de développement. Le constat est que BGFIBANK RDC se fixe des ambitions de développement claires et établies telles que traduites dans son nouveau plan stratégique quinquennal, dénommé « MBOTAMA YA SIKA » : « La Renaissance ».

Après l’ouverture de sa nouvelle agence de Lubumbashi, reconditionnée proportionnellement à ses ambitions de développement et aux standards très haut de gamme se référant à sa clientèle cible (haut de gamme), il est difficile de penser qu’une telle institution, qui pense à son expansion et à son expansion, soit en même temps en train de craindre pour son avenir. C’est soutenir une chose et son contraire à la fois.

À travers le développement de son ambitieux réseau de distribution automatique de billets, en cours de déploiement dans le pays, le développement de ses solutions digitales afin de désengorger ses agences face à une clientèle en essor permanent, il est difficile de croire que cette banque fasse preuve d’un quelconque dysfonctionnement dans sa gestion.

Il faut souligner, avec ferveur, que BGFIBANK RDC SA a reformé totalement sa gouvernance depuis 2018. La banque est désormais détenue à 100% par BGFI Holding Corporation, sa maison mère.

À cet effet, elle a entamé cette même année la procédure de l’obtention de sa « Certification AML 30000 » sur base de son dispositif de lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme, mis en place afin de clore totalement et définitivement son histoire avec le passé. Une Certification que la banque a finalement obtenue en 2020.

À noter que cette filiale du plus grand groupe bancaire panafricain d’Afrique Centrale, qui affiche un total bilan de plus de 7 milliards de dollars américains et des fonds propres de près de 800 millions de dollars, n’a rien à craindre sur un probable résultat provisoire négatif, comme repris dans une correspondance ordinaire de la Banque Centrale du CONGO.

En effet, convenez avec nous que la majorité des faits réchauffés et rapportés aujourd'hui dans les médias internationaux avaient déjà été publiés le 29 octobre 2016 dans le numéro du journal Belge "Le Soir", sur base des révélations d’un ancien agent de la Banque. 
Pourtant, plusieurs enquêtes menées par la Banque Centrale du Congo et les instances judiciaires compétentes - dont les autres sont encore en cours - ont prouvé que les événements sont bels et bien pris en charge par les instances judiciaires de la République Démocratique du Congo afin de lever tout équivoque sur ces dossiers et de définir les responsabilités de chacune des parties en cause dans ces affaires.
Qu’est-ce qui se cache derrière cette vaste campagne exercée contre la filiale congolaise de la BGFIBANK ? Difficile à comprendre. 

Toujours est-il que les esprits illuminés continuent d’être surpris par l’acharnement de certains médias, tant nationaux qu’internationaux, sur le sujet. Les mêmes causes produisant les mêmes effets, on se retrouve donc en face d’un nouvel épisode de la manipulation économique concernant la fuite de la correspondance de la Banque Centrale du Congo à BGFIBANK RDC.
La coïncidence des faits intrique. C’est la preuve évidente d’une volonté manifeste de ternir l’image de marque de la BGFIBANK RDC SA. 

F.K