7sur7

L'Autorité de régulation de la sous-traitance dans le secteur privé (ARSP) a sensibilisé les transporteurs aériens sur l'application de la loi sur la sous-traitance en République démocratique du Congo. C'était au cours d'une rencontre de vulgarisation et de sensibilisation organisée, le jeudi 21 avril dernier, dans la ville de Kinshasa, par cet établissement public.

La vice-ministre de la Santé publique, hygiène et prévention, Véronique Kilumba Nkulu, poursuit sa mission officielle à Kamina, chef-lieu de la province de Haut-Lomami. Ce lundi 25 avril 2022, ce membre du gouvernement Sama Lukonde y a lancé les travaux de réhabilitation de la maternité Kinkunki. 

Le Fonds des nations-Unies pour la population (UNFPA) a sensibilisé des femmes et jeunes filles de N'sele, une des communes de la ville de Kinshasa, en RD Congo, à l'utilisation des méthodes contraceptives modernes pour éviter les grossesses non intentionnelles.  Cette activité qui a été organisée par le Réseau africain des adolescents et des jeunes (AfriYAN) avec l'appui de cette agence de l'ONU, s'inscrit dans le cadre de la publication du rapport sur l'état de la population mondiale 2022. 

La deuxième phase de l'atelier de formation des sages-femmes de la ville de Kinshasa sur la Prévention et le Contrôle des Infections (PCI) a été clôturée, lundi dernier. Ces travaux ont été organisés par le Fonds des Nations-Unies pour la Population (UNFPA) en collaboration avec la Division provinciale de la santé de Kinshasa. 

Après leur sit-in organisé ce vendredi 21 juin devant l'immeuble du gouvernement, les médecins non alignés à la prime de risque projettent une grande marche de protestation le lundi prochain. A travers cette manifestation pacifique, ils visent à dénoncer leur non prise en charge par l'Etat congolais.  " Parmi nous, il y a ceux qui exercent depuis plusieurs années sans toucher à la prime de risque. Nous ne sommes même pas mécanisés. C'est inacceptable", fustigent ces médecins.

Ce n’est pas pour rien que le Représentant spécial du SG de l’INU exige des garanties sérieuses pour la tenue des élections conformes au standard international à lumière d’un calendrier électoral global réaliste et ne dépassant pas l’échéance 2016. La tempête suscitée inutilement par le discours prononcé lundi dernier au Palais du peuple par Joseph Kabila lorsqu’il a parlé de l’imperméabilité de son régime aux prétendues injonctions de l’étranger s’est apaisée pour donner l’occasion à une «bouche autorisée » de répliquer autrement au nom de la communauté internationale !