Je suis très fier même s’il me reste encore autre chose parce que les enfants ne sont pas considérés comme s’ils ont fait un effort pour éduquer leurs corps (êtres).Ils ont effectivement éduqué leurs êtres mais ils ne sont pas reconnus dans cette éducation-là. Notre prochaine bataille, c’est de chercher que l’homme congolais qui pratique le sport, se sente capable de vivre comme n’importe quelle autre personne qui fait autre chose. Donc, le sport est une discipline comme n’importe quelle autre discipline. Nous voulons faire de tous ces sports, une discipline qui réjouit l’homme qui la pratique. C’est extrêmement important. En Europe, les sportifs sont bien payés pourquoi pas nous autres parce qu’ils sont des hommes comme nous. Nous faisons l’université de notre sport. Pourquoi ne devons-nous pas bénéficier de tout cela ? Nous allons créer de possibilités pour prouver que ce que nous faisons comme sport peut aussi nourrir aussi les sportifs.
Je crois en Christ et je sais qu’il n’y a qu’un seul Dieu qui peut guérir les maladies, qui peut donner à l’homme la vie, c’est Jésus Christ par lui nous avons été acceptés comme étant les fils de Dieu. Si nous suivons Jésus Christ, nous allons réussir. C’est pourquoi il est important de savoir que le sport de demain doit être un sport qui nourrit le sportif parce qu’on ne peut pas comprendre que quelqu’un qui pratique le sport puisse vivre comme un clochard, sans considération aucune. Nous, nous ne pouvons nullement laisser les choses évoluer de cette manière là. Nous avons les moyens aujourd’hui de redonner espoir de vie à nos sportifs’’.
(Antoine Bolia)