Mbaya dédie son livre à Joseph Kabila

Lundi 17 novembre 2014 - 08:43

La Rd-Congo du chao à la révolution de la modernité est le livre encore en chantier du président national du MRJCO-Mouvement pour le réveil de la Rd-Congo. L’ouvrage est préfacé par l’ADG de l’ONATRA, Tito Umba. Son vernissage interviendra le 10 décembre de l’année en cours à l’Hôtel Invest de la RTNC.
L’ouvrage de Mbaya comporte quatre chapitres. Le premier parle de la traite négrière dont ont été victimes nos aïeux pendant les années coloniales. Le deuxième est axé sur les périodes turbulentes avant l’accession de la Rd-Congo à la souveraineté internationale le 30 juin 1960. Le troisième chapitre illustre les années avant, pendant et après l’indépendance. A cela s’ajoute aussi, la manière dont le pays a été géré par Mobutu, Patrice Lumumba et Joseph Kasa-Vubu. Le quatrième chapitre du livre se focalise sur Joseph Kabila. Qui, pendant son accession à la tête du pays, a remis la RD-Congo sur orbite. D’un pays débout, selon l’auteur du livre qui, dans un paragraphe, vente les prouesses de JK à cause de son savoir, lequel la Rd-Congo passe à la vitesse supérieure pour sa reconstruction. Il suffit de faire l’autopsie des différentes provinces pour constater comme toute chance à vue d’oeil, selon Mbaya. Il l’a constaté après une tournée sur l’étendue du territoire national dans le cadre de ses recherches pour la rédaction de son ouvrage. Le président du MRJCO affirme que toutes les dispositions sont prises pour que son livre soit porté sur les fonds baptismaux le 10 décembre prochain. A la conclusion de sa recherche intellectuelle, le président du MRJCO prodigue quelques conseils aux dirigeants, dans l’idée selon laquelle, ces derniers doivent travailler pour l’émergence du pays et non pour des intérêts égoïstes. Dans la perspective des échéances à venir, Mbaya rassure que son parti se range en ordre de bataille pour affronter les élections urbaines, municipales et locales. C’est la raison de sa tournée à l’intérieur du pays, question de préparer ses troupes.
yves buya