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Avocate au barreau de Lubumbashi et avocate assistante à la Cour Pénale Internationale, "CPI", Gisèle Ngungua Sangwa est définie par ses proches comme une femme de grande qualité intellectuelle.
Ancienne « Alumni » du programme du département d'Etat américain appelé IVLP "INTERNATIONAL VISITOR OF LEADERSHIP PROGRAM.
Elle accompagne ses clients tout en conseils qu’en contentieux. Engagée dans la défense et la promotion des droits de la femme, Gisele Ngungwa Abdoul affirme "qu'il n'y a pas de paix sans justice".
Cette avocate a pris part aux assises des femmes, aux Nations-Unies, à Columbia University et à Human rights Watch à New York durant 6 mois respectivement, sur le droit international de droits de l'homme ainsi que les méthodes de documentation en matière de violations de droits de l'homme.
Elle sera récompensée par 6 prix dont 1 au Canada, 2 en France et 3 autres à Lubumbashi, pour son engagement dans la reconnaissance des compétences de femmes dans les instances décisionnelles.
Épouse et mère de trois enfants, elle possède selon son entourage des qualités royales qui la placent à la Coordination de «ALFA», Action Large des Femmes Avocates, une ONG spécialisée dans l'accompagnement juridique de femmes victimes de toutes formes de violences, y compris le viol ainsi que dans le monitoring des prisons.
Chrétienne catholique, elle estime pour sa part qu’il n'y a pas de paix sans justice ni de justice sans paix. Elle est déterminée à mettre sa compétence au service de la nation, à travers sa passion qui est le droit.
En définitive, celle qu'on surnomme "la grande toge'' de la fondation Tic Tac, se dit être «la voix des sans voix» car "la justice nous met à l’abri des anti-valeurs", dit-elle.
Sur son engagement politique, elle reste ferme : "Je suis cadre au PPRD, vice-coordonnatrice de la génération KABILA et initiatrice de la cellule de base "les justiciers".
Cette cellule s'appuie sur le crédo, "Il n'y a pas de justice sans paix ni de paix sans justice, les deux concepts marchent de concert".
Jephté Kitsita
Épouse et mère de trois enfants, elle possède selon son entourage des qualités royales qui la placent à la Coordination de «ALFA», Action Large des Femmes Avocates, une ONG spécialisée dans l'accompagnement juridique de femmes victimes de toutes formes de violences, y compris le viol ainsi que dans le monitoring des prisons.
Chrétienne catholique, elle estime pour sa part qu’il n'y a pas de paix sans justice ni de justice sans paix. Elle est déterminée à mettre sa compétence au service de la nation, à travers sa passion qui est le droit.
En définitive, celle qu'on surnomme "la grande toge'' de la fondation Tic Tac, se dit être «la voix des sans voix» car "la justice nous met à l’abri des anti-valeurs", dit-elle.
Sur son engagement politique, elle reste ferme : "Je suis cadre au PPRD, vice-coordonnatrice de la génération KABILA et initiatrice de la cellule de base "les justiciers".
Cette cellule s'appuie sur le crédo, "Il n'y a pas de justice sans paix ni de paix sans justice, les deux concepts marchent de concert".
Jephté Kitsita