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Devant la presse nationale et internationale mercredi 1er mai 2019 à Kinshasa, Valentin Mubake, président de l'UDPS/le Peuple, a "attiré l'attention de l'opinion sur les graves conséquences qui pointent manifestement à l'horizon en rapport avec la stabilité de la République Démocratique du Congo et celle de toute la sous-région de l'Afrique centrale à cause de la crise de légitimité du pouvoir qui caractérise toutes les institutions de la RDC ainsi que leurs animateurs à l'issue du processus électoral chaotique...".
Pour ce faire, Mubake Nombi "appelle à une table ronde" internationale de sortie de cette crise dont la durée est de 45 jours.
"Les participants sont entre autre ceux qui ont accompagné la dynastie Kabila aux élections : CACH, Lamuka, FCC. Et le Groupe B : les délégués des plateformes politiques qui ont dénoncé le processus et ont refusé de participer aux élections : V. Mubake, Mokonda Bonza, H. Ngbanda... Le groupe C est constitué de la société civile et le CLC. Groupe D : pasteur Ekofo, Mgr Laurent Monsengwo, D. Mukwege...", écrit Mubake.
L'ancien conseiller politique de feu Étienne Tshisekedi propose également une transition de 3 ans afin de restaurer l'autorité de l'État sur l'ensemble du territoire national, préparer et réorganiser les élections...
"Le pays n'est pas calme, les gens continuent de mourir, c'est un calme avant la tempête...", a-t-il averti.
Jeff Kaleb Hobiang