Route de Matadi : Le tronçon UPN-Badiading bientôt fini

Vendredi 24 octobre 2014 - 12:55

C’est sans désemparer que les travaux d’agrandissement et de modernisation de la route de Matadi, le tronçon compris en UPN et Mitendi, la dernière bourgade à la sortie de la ville de Kinshasa vers le Bas-Congo, se poursuivent avec la grande satisfaction de tous les usagers habitués aux embouteillages monstres qui fréquentent cette partie de la nationale n°1.

 

Même si cela crée parfois quelques désagréments, renseignent certains usagers de cette route, c’est de bon cœur qu’ils prennent leur mal en patience. Ce sont notamment les travaux en cours d’exécution entre le parking dit UPN et Wenze ya Badiadingi.

Contrairement à plusieurs chantiers de la ville actuellement à l’arrêt sans que l’on sache pourquoi, à ce niveau, l’entreprise chinoise « Crec8 » travaille tous les jours d’arrache-pied pour achever cet ouvrage et permettre ainsi au trafic de devenir fluide.

 

Car, habituellement, c’est la galère. Ainsi, après avoir procédé aux travaux agrandissement de la route avec quatre voies, dont deux dans chaque sans de la circulation, les ouvriers et ingénieurs congolais et chinois qui y travaillent sont présentement occupés à achever les travaux de bitumage.

Cela, sans nul doute avant d’entamer les travaux de sécurisation sur les deux côtés de cette partie escarpée de la route en construisant des murs de soutènement afin de protéger des habitations et la construction d’un trottoir pour piétons.

 

Certainement que de séparateurs seront également construit à la fin des travaux afin d’éviter de télescopages éventuels et de accidents mortels à cause de l’indiscipline de certains automobilistes qui conduisent n’importe comment en violation du code de la route. Il y a également les travaux d’éclairage qui ont démarré par la pose de poteaux en bois que l’on voit un peu partout le long de ce tronçon.

 

Tout en saluant les efforts du gouvernement central qui tient à ce que ces travaux s’achèvent à temps, il est également important de faire la lumière sur de chantiers devenus éternels et dont la durée de travaux n’est jamais connue.

VAN