Vodacom Congo équipe huit écoles

Lundi 4 mai 2015 - 16:11

750 : c’est le nombre total des bancs remis à huit écoles primaires et secondaires de la ville de Kinshasa, le jeudi 30 avril par la fondation Vodacom Congo à l’occasion de la Journée nationale de l’enseignement. Cette cérémonie qui marque une fois de plus le partenariat gagnant-gagnant entre
Vodacom et le ministère de l’Enseignement primaire, secondaire et Initiation à la nouvelle citoyenneté a été’ co-présidée en présence de plusieurs invités et devant les écoles bénéficiaires, par Maker Mwangu Famba, ministre de tutelle et par Gaston Maduma, Directeur général adjoint de ce géant des télécommunications congolaises. Cette initiative de Vodacom Congo rentre dans le cadre de son projet éducation qui a pour slogan « aucun enfant assis au sol pour apprendre ». Il vient répondre également au programme de l’exécutif provincial de la ville de Kinshasa dénommé « pas d’écoles sans bancs » demandant aux institutions tant publiques que privées de contribuer à l’amélioration des conditions scolaires des élèves de la capitale.

Parmi les écoles dotées ‘des bancs-pupitres, signe de la volonté et de l’engagement de Vodacom Congo à participer à l’amélioration des, conditions d’apprentissage des. écoliers et élèves congolais, il y a le CS Gama, Ep1&2 Bongolo, Institut St Louis, CS Kinda, Institut Zebi & Institut Pédagogique de Lemba, Ep6&11 Selembao, CS CBCO Bumbu qui ont bénéficié chacune de cent bancs, ainsi que du CS Uckin, qui a été doté de cinquante bancs.

Outre ce don en bancs, tous les écoliers et élèves présents à cette manifestation ont reçu de la part de la fondation Vodacon un kit de” fournitures scolaires composé des .sacs â dos, cahiers, stylos et autres objets classiques pour’ un bon apprentissage.
Deux temps forts ont marqué cette brève manifestation de remise des bancs, à savoir le mot de remerciement de l’inspecteur Principal de l’Eps-IC et celui d’y Directeur général adjoint de Vodacom Congo.
Dans son mot de circonstance, l’inspecteur Principal a salué les efforts sans cesse renouvelés de Vodacom et son engagement d’améliorer les conditions scolaires sans lesquelles toute formation est vouée à l’échec. Selon ce spécialiste de l’éducation « un élève mal assis n’apprend pas bien, il n’est pas concentré. Par contre, bien assis, celui-ci devient concentré et apprend vite », a-t-il martelé. Et d’ajouter que c’est en améliorant seulement toutes ces conditions que l’école pourra devenir attrayante pour les élèves congolais.
Revenant une fois de plus sur le partenariat Vodacom-Eps-IC, l’inspecteur Principal n’a pas manqué de rappeler des progrès et tous les bénéfices produits par cet accord dans l’intérêt de l’école et de l’élèves congolais. Pour ce faire, il a notamment épinglé la publication des résultats de l’examen d’Etat en temps record, dont là période d’attente est passée d’une année pour les coins les plus reculés du ‘pays avant 2007 à deux semaines aujourd’hui via la plateforme’ SMS Examen d’Etat; dotation des écoles du pays en bancs-pupitres mais aussi la mobilité des enseignants de l’intérieur du pays grâce à la distribution des bicyclettes, etc.
Pour sa part, très conscient de ce que représente le sec- leur de l’éducation pour l’avenir et le développement du pays, voulant justifier l’action que mène son entreprise, Gaston Maduma a déclaré que « c’est un devoir citoyen pour nous de participer à l’amélioration de la qualité d’apprentissage. Car, notre responsabilité sociale exige que partout où nous travaillons, nous investissions dans ces communautés». L’éducation étant le moteur du bien-être social, Il a reconnu que beaucoup d’élèves dans notre pays suivent les cours ô même le sol, dans des salles de classe sans toitures, sans portes ni fenêtres. C’est la raison pour laquelle nous en tant qu’entreprise citoyenne, a fait savoir Gaston Maduma, sommes préoccupés par cette situation. Nous avons alors entrepris des démarches à notre niveau pour trouver, un financement auprès de Vodafone et apporter notre pierre à l’édifice. Nous soutenons l’éducation de la jeunesse de notre pays, avenir demain », a-t-il conclu.
Par VAN