Le candidat au poste de questeur du énat, maître Guy Loando, a promis de mettre en place des projets de développement pour, dit-il, accompagner chaque sénateur dans son action parlementaire.
C'était au cours de la plénière convoquée par le bureau provisoire de la chambre haute du parlement ce jeudi, en vue de la poursuite de la présentation des programmes des candidats à l'élection du bureau permanent.
Lors de la présentation de son projet, l'élu de la Tshuapa, a promis également d'initier plusieurs actions pour améliorer les conditions sociales des sénateurs. Il s'agit de :
- La mise en place d'un partenariat stratégique afin de créer des produits taillés sur mesure, tenant compte des préoccupations des sénateurs ;
- La proposition de la distribution des cartes de crédit bancaire aux sénateurs ;
- La mise en place et la pérennisation du fonds de solidarité qui permet aux sénateurs d'avoir, au-delà de leurs émoluments, des recettes pour garantir de meilleures conditions sociales.
En outre, il a indiqué qu'il mettra sur pied des partenariats avec les sociétés d'assurance, pour offrir aux élus des élus, "une assurance maladie afin de leur permettre d'accéder aux soins de santé adéquats".
Quant au personnel administratif du sénat, cet avocat d'affaires a fait savoir qu'il va veiller sur le maintien du fonds de secours et leur accès à la restauration, pour leur garantir de bonnes conditions de travail.
"Dans ma fonction, en tant que questeur, je vais m'assurer que les intérêts de chaque province ainsi que des sénateurs soient pris en compte, afin d'assurer le développement de chaque province, qui, à la suite de découpage territorial, continue à sombrer dans des conditions inimaginables", a déclaré Maitre Guy Loando, avant de souligner qu'avec "ses plus de 10 ans dans le domaine des affaires, il détient des compétences nécessaires pour diriger la questure du sénat.
L'élection du bureau définitif de la chambre haute prévue le samedi 27 juillet.
G. Loanda annonce qu'il acceptera les résultats de ce scrutin avec amour, même s'il ne bénéficiait pas des suffrages des élus.
P.M.