Rien de plus confortable face à une quelconque adversité humaine que de s'enraciner dans la légalité, cette légalité qui fonde l'Etat de droit que le nouveau leadership politique incarné par son Excellence Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, Président de la République s'emploie de toutes ses énergies à bâtir, à la plus grande admiration de ses concitoyens dont l'intérêt passe avant toutes choses.
Oui, rien de plus rassurant face aux tentatives d'usurpation ou de dédoublement de sa marque que de croire à la justice qui, plus que jamais, est en train de s'affirmer dans sa neutralité, dans son impartialité et dans son rôle de tremplin de l'élévation de la nation. Que dirais-je encore, rien de plus serein face aux cabales de basse classe orchestrée par des personnes mal intentionnées que de contempler la désolation et la désapprobation de toute l'opinion nationale (et même internationale) des méthodes politiciennes archaïques de recours aux mensonges, machinations et artifices de tous genres tendant à maquiller la vérité aux fins d'évincer le légitime.
C'est en tout cas, à notre humble avis, dans cette situation de confort, d'assurance et de sérénité
que se trouve ce baobab de la politique congolaise qu'est le Sénateur Professeur Modeste Bahati Lukwebo, lorsqu'il observe les agitations de la bande d'usurpateurs sans scrupules qui, sans titre ni droit, s'évertuent à dénaturer la vérité en s'attribuant la légitimité du regroupement politique Alliance des
Forces Démocratiques du Congo et Alliés (AFDC-A). D'autant plus qu'aujourd'hui, la justice s'est affranchie de ses anciens oripeaux de partialité, de corruption, de clientélisme et autres antivaleurs qui l'ont caractérisée pendant longtemps, pour se manifester comme le dernier rempart de la société.
Lorsque je dis que la justice est le dernier rempart de la société, cela signifie qu'une victime d'extorsion, d'escroquerie, de vol, de détournement ou de tout autre fait socialement mauvais n'a comme dernier espoir pour être rétabli dans ses droits légitimes que la justice. Victime des coups bas et autres médisances de la part de ceux-là qui n'ont pour idéal qu'occuper des postes ministériels, le Père-fondateur de l'Alliance des Forces Démocratiques du Congo n'a trouvé mieux, en bon citoyen
démocrate, que de s'adresser, en dernière instance, à la Cour Constitutionnelle pour la reconnaissance de sa légitimité relativement à l'AFDC-A, à laquelle du reste toute la population congolaise, du plus vieux
au plus petit, du plus érudit au plus ignorant, l'identifie. Car, pour le commun des Congolais, I’AFDC c'est
BAHATI, au point qu'une AFDC sans l'ombre du Sénateur Professeur Modeste BAHATI LUKWEBO est
perçue comme une carcasse bien repeinte. D'autres instances non judiciaires lui ont déjà donné raison.
Puisque la cause défendue par le Sénateur Professeur Modeste Bahati Lukwebo est juste, il n'y a aucun doute que la justice lui sera rendue. Les agitations actuelles de ses adversaires au moyen
notamment d'une plainte fomentée de toutes pièces ne sont que les prémisses de l'opprobre à venir. Le mieux à faire pour eux serait de lâcher prise avant que la honte ne soit leur partage au verdict de la Cour Constitutionnelle. Car, à voir la manière dont cette affaire est en train d'être instruite, et au regard de la
réalité connue de tous, la sage Cour ne fera pas, à notre humble avis, autre chose que de confirmer ce que tout le monde sait pertinemment bien, à savoir l'AFDC-A est une et indivisible, et cest celle du très populaire Sénateur Professeur Modeste Bahati Lukwebo. Nous sommes loin de nous tromper en nous
convainquant que notre opinion est partagée par la quasi-totalité d'analystes et observateurs politiques,
congolais comme étrangers.
Et si nous pouvons nous permettre de donner une petite leçon à ceux-là qui cherchent à tout prix
à s'arroger frauduleusement la légitimité de l'AFDC-A, nous dirions tout simplement ceci : Dieu voit tout, il est juste et ne permettra pas que l'injustice perdure à jamais. Il faut extirper les coups bas et les
mensonges de la politique, celle-ci devant être noble. Notre pays ne peut être reconstruit sans la vérité
et la justice. Vive le changement pour l'Etat de droit en Rdcongo, vive l'autorité morale statutaire de
L'AFDC-A, vive L'AFDC-A/France et vive la Rdcongo.
Maître Öser Mumbala, membre du bureau AFDC-A / France.