Les relations entre Tshisekedi et Mboso sont au beau fixe. L’opposition a peur des élections ! ( Tribune de Patrick Mulumba )

Lundi 3 avril 2023 - 16:14
Image
Droits tiers

Avant toute chose, définissons l’homme politique Christophe Mboso N’kodia Pwanga, dans ce qu’il représente dans le cercle du pouvoir de Kinshasa, de façon à circonscrire son positionnement et son rôle stratégique au côté du PRO5 Félix Tshisekedi.

Christophe Mboso N’kodia Pwanga, cet octogénaire expérimenté de l’arène politique congolaise, est celui que l’on peut définir, en des termes clairs, comme étant l’homme des missions difficiles accomplies du Président de la République Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo au service et en faveur du peuple congolais.

Ce positionnement stratégique exige de lui fidélité et loyauté au chef de l’État et commandant suprême des FARDC et de Police nationale. Et depuis lors, ces principes de partenariat sont, de stricte observation, dans ses relations avec le Président de la République Félix Tshisekedi.

Malheureusement, sa loyauté et sa fidélité envers l’Autorité suprême du pays n’enchante pas l’opposition agonisante et détractrice de ce dernier. 

Les acteurs de cette opposition maladroite, singulièrement ceux de l’obédience katumbistes, fayulistes et kabilistes, se sont lancés dans une campagne politicienne contre-productive, sur fond des manipulations et des contrevérités, visant deux objectifs : 

1. Faire naître le doute dans le chef du président de la république sur l’honorable président Christophe Mboso à l’effet d’une éventuelle séparation entre les deux hommes ; 

2. Faire croire à l’opinion que les relations entre les deux hommes ne sont plus au beau fixe.

Cette entreprise diabolique d’une opposition improductive est vouée à l’échec. D’autant plus que le chef de l’État Félix Tshisekedi ainsi que le peuple congolais ne cessent de renouveler leur confiance à ce digne fils du pays, et à ce loyal et fidèle serviteur du peuple d’abord, l’honorable Christophe Mboso président de la chambre basse du parlement dont la majorité parlementaire est tenue par l’Union sacrée de la nation, la plateforme politique du Chef de l’État.

Une question taraude les esprits, à savoir : pourquoi le FCC, Fayulu et Katumbi, tous réunis, en veulent à l’honorable président Christophe Mboso ?

 Sans nul doute, c’est le Président de la République qu’ils visent, en réalité. Mais puisqu’ils ne peuvent pas atteindre, directement la cible, l’honorable président Christophe Mboso serait le canal par excellence, pour arriver à leur fin.

 Écarter cet octogénaire expérimenté au côté de Tshisekedi, c’est privé ce dernier d’un élément de puzzle d’une importance capitale.

Il faut dire que la loyauté et la fidélité (ces principes de partenariat) dérangent cet axe du mal (FCC-Fayulu-Katumbi), dans leur projet macabre contre la république et son chef de l’État.

 L’avènement de l’Union sacrée de la nation, ses actions politiques d’envergure (déboulonnage du FCC, mise en place de la CENI, organisation des élections dans le délai constitutionnel), et ses ambitions (faire réélire le président Félix Tshisekedi à la présidentielle du 20/12/2023 et obtenir une majorité absolue aux législatives nationales et provinciales), sont un véritable épouvantail pour cette opposition en perte de vitesse. Le génie du chef de l’État Félix Tshisekedi s’était montré, une fois de plus, très créateur à l’idée de la mise en place de cette structure politique, la plus grande de l’histoire du pays.

L’honorable président Christophe Mboso est un acteur clé de cette grande structure politique. Il est le capitaine qui a mené à bon port la première phase des objectifs de l’Union sacrée de la nation, à savoir : le déboulonnage du FCC, la mise en place de CENI et la mise en orbite de l’organisation des élections dans le délai constitutionnel.

Et il a bien l’intention de réitérer ce même exploit, en ce qui concerne la deuxième phase des objectifs politiques de l’USN, à savoir : faire réélire le président Félix Tshisekedi et obtenir une majorité absolue aux législatives nationale et provinciales.

Pour dire vrai, l’opposition politique a peur des élections. Il a, à bien des égards, horreur de savoir que c’est le redoutable Union Sacrée de la Nation qu’elle va affronter aux législatives et à la présidentielle, avec a sa gibecière un candidat aimé et plébiscité par son peuple, à savoir : Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo !

À retenir deux choses :

 1. Que les relations (partenariat) stratégiques Tshisekedi - Mboso sont au beau fixe. Et elles restent inénarrables, en dépit des complots ourdis de l’opposition contre elles ; 

2. L’opposition est agonisante, frappée par la peur des élections. C’est pourquoi elle compte (cette opposition) sur leurs alliés stratégiques de circonstances, à savoir : l’insécurité à l’Est du pays et dans le Kwamouth, tout en espérant bien l’aggravation de la situation, de manière à obtenir la non organisation des élections dans le délai constitutionnel. Et ceci aura pour conséquence le dialogue politique tant voulu et souhaité dans leurs officines, en vue du partage du gâteau !

Mais le peuple congolais, le président de la république Félix Tshisekedi, avec l’accompagnement de l’honorable président Christophe Mboso, ne leur accordera pas cette occasion. 

Les élections démocratiques, transparentes et apaisées seront organisées dans le délai constitutionnel !

Mulumba Kanyinda Patrick, cellcop politique du président Christophe Mboso.