Avec le lancement de la campagne "Primus créateur d'emplois", Bralima moteur de développement en RDC

Jeudi 3 mars 2016 - 10:45
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Avec  3.000 emplois directs et 174.000 emplois indirects  sur l’ensemble du territoire national, la Bralima est sans conteste le plus grand employeur privé de la RDC. Loin de s’en contenter, cette entreprise entend créer davantage d’emplois pour contribuer à la croissance de la République Démocratique du Congo. C’est la raison du lancement le 2 mars la campagne « Primus Créateur d’Emplois » et du « Management Trainee Program ».

Avec cette campagne, Bralima-Boukin démontre que Primus reste un moteur de développement économique qui crée des opportunités d’emplois pour le bonheur des Congolais. Dans le contexte congolais miné par le chômage, c’est une question de haute importance sociale. Ce qui explique la présence à la cérémonie de lancement de Willy Makiashi, Vice-Premier ministre chargé de l’Emploi, Travail et Prévoyance Sociale. Dans son mot de circonstance, le Directeur général de la Bralima, Rene Kruijt, a retracé le parcours de sa société en matière de création d’emplois. Il a rappelé que Bralima est partie de 35 emplois en 1923 pour atteindre 3000 emplois directs actuellement. Mais au-delà, l’activité économique de Bralima génère 174.000 emplois indirects. Bralima contribue donc au développement économique et social de la RDC. Réné Kruijt a assuré que son entreprise est capable de faire plus en matière de création d’emplois. Mais à condition, a-t-il dit, qu’une croissance plus forte soit au rendez-vous. Mais aussi qu’elle bénéficie de l’accompagnement de l’Etat.  « C’est le message que nous voulons transmettre à la communauté nationale à travers  le lancement de la campagne « Primus Créateur d’Emplois » a-t-il ajouté.

 

Des opportunités pour les jeunes diplômés

Si l’accès à l’emploi est un véritable parcours du combattant pour les Congolais, il l’est encore plus pour les jeunes. A leur intention, la Bralima a mis en place le « Management Trainee Program », un programme complémentaire à « Primus Créateur d’Emplois ». Selon son Directeur général, ce programme vise à sélectionner les  jeunes fraîchement diplômés dans les universités partenaires. Une fois sélectionnés, ces jeunes bénéficient d’un encadrement de Bralima avant de voir offrir un contrat aux meilleurs d’entre eux. Bralima à travers ces deux programmes prouve qu’elle est une société pro-emplois et pro-jeunes. Voilà pourquoi son Directeur général a plaidé auprès de Willy Makiashi, pour que son entreprise bénéficie plus encore du soutien de l’Etat dans ses objectifs ambitieux de création d’emplois et de richesse.  Et l’Etat peut s’appuyer sur « Primus Créateur d’Emplois » notamment.

 

Le message de Réné Krujit a été capté 5 sur 5 par son hôte, le Vice-Premier ministre chargé de l’Emploi. Willy Makiashi, prenant la parole, s’est dit « honoré » de présider au lancement de la campagne « Primus Créateur d’Emplois ». Ce programme phare de la Bralima l’a rendu particulièrement joyeux car il participe à la création des emplois et partant à la lutte contre le chômage. Le Vice-Premier ministre a présenté sa présence  comme un appui à l’endroit de la Bralima car elle œuvre à la réalisation des projets sociaux. Bralima et le gouvernement, a-t-il encore dit, partagent la même préoccupation  qui est la création d’emplois, un axe essentiel du gouvernement pour la réduction de la pauvreté. Willy Makiashi n’a pas manqué de faire le lien entre le projet phare de son ministère pour la  création d’emplois « Programme d’Emplois Diplômé » (PED), lancé le 26 février avec l’appui de la BAD (Banque africaine de développement) à travers l’ONEM et le « Management Trainee Program » de Bralima. Le vice-premier ministre a encouragé le partenariat Public-Privé afin de réduire le chômage en RDC. Il ne reste plus qu’à attendre la concrétisation dans les faits des promesses faites par le vice-premier ministre à la Bralima. Encadrer la jeunesse à un coût. Si l’Etat met la main à la poche pour soutenir le plus grand employeur de la RDC, à travers sa bière Primus, il va sans dire que la lutte contre le chômage des jeunes s’en portera mieux.