Société

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Une dizaine d’organisations de la société civile du Nord-Kivu, regroupées au sein de la plateforme dénommée Synergie des écologistes pour la paix et le développement (SEPD), ont demandé au ministre congolais de l’Agriculture, Pêche et Elevage d’accélérer le processus de démarcation des frontières sur le lac Edouard pour éviter les conflits entre les pêcheurs ougandais et congolais. Ces organisations demandent dans une lettre datée du lundi 12 septembre au ministre congolais de l’Agriculture de rétablir l’ordre dans l’activité de pêche sur ce lac. Elles dénoncent aussi les conflits devenus ré

Le salaire du mois d’août de plus d’une centaine de médecins et infirmiers du Kongo-Central reste bloqué à Kinshasa, alors que la paie du mois de septembre a déjà été lancée pour certains fonctionnaires, a déploré mercredi 14 septembre, un membre de l’intersyndicale de professionnels de la Santé à Matadi, Dr Jacques Kimfuta. Il a indiqué que cette situation s’est produite, après un contrôle effectué par une mission du ministère de Budget venue de Kinshasa, en novembre 2015. « L’équipe de contrôle qui est passée en novembre 2015les avaient déclaré soit des déserteurs, soit des décédés.

Le Représentant légal de la communauté musulmane en RDC, Cheikh Aly Mwinyi, a appelé mercredi 14 septembre le gouvernement congolais à collaborer avec sa congrégation avant de délivrer les visas aux prédicateurs musulmans étrangers qui viennent dans ce pays. Les services de sécurité au Nord-Kivu soupçonnent certains prédicateurs musulmans étrangers de collaborer avec les rebelles ougandais ADF et de financer cette rébellion ougandaise, qui est accusée d’être à la base de nombreux massacres dans la région de Beni depuis 2014. Au cours d’une interview à Radio Okapi, Cheikh Aly Mwinyi a appelé

Quatre personnes, dont trois mineurs, sont mortes mardi 13 septembre lors d’un éboulement dans la carrière minière dénommée « Biduaya », à une vingtaine de kilomètres de Kolwezi, a annoncé le gouverneur du Lualaba, Richard Muyej. «Nous avons déjà interdit l’utilisation des enfants de moins de dix-huit ans dans ces carrières. Si cela se vérifie, après les enquêtes, nous prendrons des sanctions fortes partant de l’exclusion de ces négociants de toutes les carrières du Lualaba et nous les mettrons à la disposition de la justice, qui devra agir avec fermeté», a affirmé Richard Muyej.

Plus de deux mille bantous ont abandonné leurs habitations à la suite du conflit ethnique qui les oppose aux pygmées, à Nyunzu (Tanganyika). Ces déplacés sont arrivés, depuis cinq jours, par vagues dans la localité de Kabalo. «Présentement, nous avons 448 ménages, c’est-à-dire une affaire de deux mille populations. Certains sont logés dans des églises, les autres dans une station électrique de la SNEL et les autres encore dans les familles d’accueil.

Les acteurs politiques congolais présents au dialogue politique doivent œuvrer pour la paix et l’unité de RDC et pas pour assouvir leurs intérêts égoïstes, a déclaré lundi 12 septembre à Kinshasa le représentant légal adjoint de la communauté islamique en RDC, Sheikh Immam Kapuluta Salin. Il s’exprimait à l’occasion de la Tabaski, fête musulmane qui commémore le sacrifice d'Abraham. « Dans notre pays, les gens sont en conclave. Nous voulons que ce dialogue débouche à des solutions qui vont amener la paix.

La MONUSCO a extrait, dimanche 11 septembre, cent cinquante-deux réfugiés sud-soudanais dans un état critique, du Parc national de la Garamba (Haut-Uélé), annonce un communiqué de la mission onusienne. Cette opération d’assistance humanitaire qui a commencé depuis le 17 août 2016 a permis d’extraire à ce jour, 634 personnes de ce parc.

Le trafic a repris depuis samedi 10 septembre sur le pont Mvindu, axe routier Boma-Muanda dans le Kongo-Central.

A l’occasion de la fête des moutons célébrée lundi 12 septembre par les musulmans du monde, la communauté islamique au Congo (COMICO) a lancé un message de paix à tous ses fidèles. Pour le représentant légal de la région islamique d’Uvira, Mwamba Hassan Hamza, les divisions internes ne devraient pas caractériser les communautés musulmanes locales, « alors que tous croient tous au message du courant apporté par le prophète Mohamad ». Pour sceller cet appel de paix, des prières ont été dites dans la matinée dans toutes les mosquées d’uvira (Sud-Kivu).​