À Kolwezi, chef-lieu de la province du Lualaba, différentes couches sociales notamment les policières, les élèves et les confessions religieuses, ont marché à côté de la commissaire générale des Affaires sociales et humanitaires, genre, famille et enfants, pour dénoncer les violences faites à la femme et à la jeune fille.
La marche est partie du rond-point de l'Indépendance jusqu'à la tribune, située dans la commune de Manika, où différents discours ont été prononcés.
Dans son speech, Nathalie Lunda Ngandu a signifié que cette journée est une opportunité spéciale pour les victimes de briser le silence. La commissaire générale du genre et famille a indiqué que les violences faites à la femme et jeune fille constituent un obstacle au développement durable.
« La journée internationale pour l'élimination de toutes les violences à l'égard de la femme et de la jeune fille est une opportunité spéciale de briser le silence pour mettre en lumière toutes ces violences et de mobiliser tous les efforts nécessaires dans un élan de solidarité en vue d'y mettre fin à l'horizon 2030, car en plus de compromettre des droits fondamentaux de femmes et des filles, ces violences constituent obstacle majeur au développement durable », a déclaré Nathalie Lunda Ngandu, Commissaire générale des affaires sociales et humanitaires, genre, famille et enfant.
Il sied de rappeler que cette activité entre dans le cadre de la clôture de 16 jours d'activisme contre la violence basée sur le genre à l'égard des femmes et des filles.
Marcelo Mfumu, à Kolwezi