Culture

Le prix Super Ebony décerné dans la nuit de samedi à dimanche à Yamoussoukro et l’attaque perpétrée à Grabo (Sud-Ouest) dans la nuit de vendredi à samedi se disputent la Une des journaux quotidiens ivoiriens parus, lundi, sur l’ensemble du territoire national. « Super Ebony 2014 : après Fraternité Matin, c'est Fraternité Matin », se réjouit en Une, le quotidien d'Etat Fraternité Matin dont l'un des journalistes, Séthou Banhoro a décroché ce prix Super Ebony.

C’est après un spectacle en avant-première du festival d’humour Toseka 3ème édition donné par les six jeunes humoristes retenus que, Félix se dit avoir un avenir meilleur dans la comédie. Face à la question de savoir le pourquoi de son exercice dans l’humour, ce dernier fait savoir que cet art reste le seul moyen de communication pour lui de faire passer les messages pour son pays. Et d’insister sur le fait que « L’humour pour moi est d’abord une passion ».

Pour rappel, l’artiste que nous vous présentons était autrefois connu sous le pseudonyme Khaly, alors qu’il chantait en R&B, un rythme qu’il a beaucoup exploité pendant qu’il faisait la musique dite profane.

30 années après, cet auteur volubile revient en force dans « Nouveau combattant », une œuvre qui restitue exactement ce que le monde est en train de vivre actuellement. C’est donc la suite logique de ce que nos aïeux avaient vécu en 1914-1918 et 1940-1945. Les musiciens n’étant pas des pyromanes qui jettent de l’essence sur le feu, Zao a, comme dans le temps, refait la même démarche avec la même volonté pour démontrer que la guerre « ce n’est pas bien, ce n’est pas bien. Quand viendra la guerre tout le monde cadavéré ».

En effet, le dimanche 11 janvier dernier à l’Hôtel Invest de la RTNC, devenu cadre idéal pour les organisateurs pour l’organisation de leur concours précité, les étudiants de deux institutions d’enseignement supérieur étaient en lice, notamment de l’Université Pédagogique Nationale ‘’UPN’’ et de l’Université Libre de Kinshasa ‘’ULK’’.

D’autre part, en ce qui concerne le disque « Flèche Ingeta Ezwi Ezwi » faisons remarquer qu’il est sorti sur le marché en Europe à la Saint Sylvestre et plus de 10.000 coffrets ont été écoulés en un temps record. Et le lot destiné à Kinshasa est arrivé dans la capitale congolaise depuis le dimanche 12 janvier tandis que la vente va débuter aujourd’hui mercredi 14 à la Maison située au croisement des avenues Kasavubu et Oswe à Matonge dans la commune de Kalamu.

Après le classement 2014 des personnalités congolaises de Brazzaville, Starducongo.com publie pour la première fois celui des personnalités congolaises de la République démocratique du Congo (RDC). Notre rédaction n’intègre pas des politiques dans son classement. Comme cela a été expliqué dans le cas du Congo-Brazzaville, ce classement tient compte de la notoriété des lauréats sur la scène internationale, du regard des médias étrangers sur leur travail ou sur celui qu’ils ont réalisé au cours de l’année.

L’artiste musicien, percussionniste et auteur-compositeur Deb’s Bukaka dresse un bilan positif de ses tournées européennes qui l’ont amené, en 2014, en Autriche, en Hollande, en République Tchèque et ensuite Belgique, en Italie, en Espagne et en Allemagne. Patron du groupe musical Siyanda, Bukaka a, pendant son périple européen, présenté le spectacle de musique et danse « Coup fatal », réalisé sous la direction du Théâtre royal flamand de Bruxelles, KVS. La suite de ses productions est prévue en 2015.

Le Congo et le Maroc veulent établir une collaboration cinématographique, a annoncé le réalisateur marocain et PDG de la société les Films 7, Mohamed Ahed Bensouda, à l’issue d’un entretien entre le ministre congolais de la Culture, et des arts, Jean Claude Gakosso, et les festivaliers qui viennent de participer à la deuxième édition du Festival du film des femmes africaines Tazama, à Brazzaville.

Lady Ka, artiste rwandaise souhaite mettre sur pied un spectacle alliant défilé de mode et danse chorégraphique où chaque pays africain sera représenté. L’objectif, selon elle, est de proposer autre chose que ce qui est présenté lors des défilés classiques.«Lady Ka Fashion», c’est ainsi que l’artiste veut dénommer ce nouveau concept selon lequel le mannequin esquisse des pas de danse tout en défilant. Selon elle, cette innovation sera une manière de « sortir le mannequin de ce côté figé où il ne s’exprime pas».