Désigné directeur général de la Bralima, René Kruijt est déjà à pied d’oeuvre. S’adressant aux travailleurs lors de la passation du pouvoir avec son prédécesseur, il a d’abord apprécié la politique de l’entreprise visant à augmenter le volume de la production. Ensuite, il a mis un accent particulier sur la contribution de tous. «L’avenir de la Bralima ne dépend pas seulement des cadres. Chacun de nous a une part de responsabilité », a-t-il souligné.
S’étant mis à l’écoute de bon nombre de personnes et avant fait le tour du marché, René Kruijt s’est rendu compte de la situation de l’entreprise. Parmi les points relevés, il y a l’environnement économique difficile, la productivité, la maîtrise des goûts qui pose problème et bien d’autres... La bataille étant encore loin d’être gagnée, il invite tous les agents à doubler d’efforts, à agir avec beaucoup plus de professionnalisation et de responsabilité. Son voeu est de faire en sorte que les principaux indicateurs progressent dans la bonne direction. Pour ce faire, il compte sur l’implication de tous les travailleurs pour que le volume Je la production augmente, les coûts de la fabrication baissent et que l’entreprise gagne des parts de marché.
Pour que tout le monde puisse tirer profit des bénéfices que pourra réaliser l’entreprise, le nouveau directeur général s’engage à apporter tout son soutien pour la réalisation des objectifs. Il demande à la direction de marketing et commercial de doter l’entreprise de meilleures marques et d’assurer une bonne exécution sur le marché. A la direction des Ressources humaines d’améliorer les conditions de vie des employés. Aux finances de se donner les meilleurs résultats financiers et au Corporate de préserver et d’améliorer la réputation en protégeant la liberté commerciale.
Le climat social étant très bon, c’est une ambiance de fête qui a régné à la Bralima lors de la passation du pouvoir entre l’ancien directeur, Alexey, et le nouveau, René Kruijt.
Par VCK