Joseph Kabila prédit l’échec aux prophètes de malheur

Le président Joseph Kabila a rassuré les congolais qu’il n’y aura ni sang, ni sueurs malgré les menaces et intimidations de négativistes qui pensent que le ciel tombera s’ils refusent de participer au dialogue. ‘‘J’aimerais, à cet effet, rassurer l’ensemble de notre peuple que je ne permettrai pas que les sacrifices consentis ensemble au cours de dernières années pour bâtir la paix et la sécurité dans notre pays et dans la région, balisant ainsi la voie de l’émergence soit compromis sous quel prétexte que ce soit par ceux qui, de mauvaise foi et de manière délibérée, choisiront de rester enfermés dans leur posture négativiste, refusant le dialogue au profit de complot contre la république et en promettant sang et sueurs à notre peuple’’, a prévenu Joseph Kabila. Il n’y aura ni l’un, ni l’autre, prévient-t-il. Applaudissements frénétiques. Et le président Kabila de rappeler sur un ton rassurant : ‘‘Que notre peuple sache donc, que ses intérêts et ses aspirations légitimes à la quiétude et au bien-être seront en tout temps et en toutes circonstances sauvegardés et promus par les institutions de la république’’. Plus tranchant, le chef de l’état a précisé que là où il lui est promis la mort, nous l’assurons que tout sera mis en œuvre pour protéger la vie. Et Là où on veut tout détruire, notre engagement, enchaine-t-il, c’est de construire et de développer sans relâche. A notre peuple de choisir lors des élections, lequel de deux projets de société lui convient le mieux, avertit le rais. Face à la problématique du coût des opérations électorales, il a émis une idée à la classe politique de faire le choix entre le vote par bulletin papier et le vote électronique. ‘‘Je demeure une fois de plus persuadé que l’option à lever sur les modalités de vote prévues à l’article 47 de la loi électorale à savoir soit le vote par bulletin à papier, soit le vote électronique pourrait contribuer à réduire substantiellement les coûts des opérations électorales’’, a suggéré Joseph Kabila qui reste convaincu que le dialogue reste la seule voie pour arriver au consensus électoral.