Le mobile journalisme (Mojo) expliqué par Patient Ligodi tel que révolutionné par le Huawei Mate 8

Mardi 28 juin 2016 - 13:01
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Image retirée.L'avènement des technologies de l'information et de la communication (TIC) a bouleversé le journalisme. Le journalisme ne se fait plus aujourd'hui et ne se fera plus comme hier. Une nouvelle branche du journalisme a depuis aussi vu le jour. Il s'agit du Mobile Journalisme, Mojo en sigle. Cette nouvelle discipline -qui apprend aux journalistes comment collecter, traiter et diffuser l'information avec exclusivement le smartphone- a été au centre d'un atelier qu'à organisé Huawei le lundi 27 juin à son Q.G non loin de la Place Gare centrale dans la commune de la Gombe. Y ont pris part, une vingtaine de journalistes venus des différents organes de presse de Kinshasa. À la manœuvre, un jeune et brillant congolais précurseur du Mojo en RDC. Son nom: Patient Ligodi. À la fois directeur général de la station Univers FM, cofondateur du site Politico.cd, journaliste, blogueur et doctorand en sciences de l'information et de la communication, Patient Ligodi a donné un enseignement theorique et pratique sur le Mobile Journalisme. Pour ce pionner, le mojo est indispensable au journalisme et au journaliste moderne. Il faut donc s'adapter aux heureuses évolutions technologiques conseille-t-il. Celles-ci rendent le métier du journaliste plus facile fait-il savoir. Selon Ligodi, plus besoin désormais de se trimbaler avec une caméra lourde, un dictaphone, un calepin, un appareil photo pour faire un bon reportage. Actuellement avec un bon smartphone on peut à la fois filmer, écrire, enregistrer un excellent son et faire de belles photos a-t-il démontré avec un smartphone. On peut même faire des interviews à distance grâce à des applications qui enregistrent la conversation fait-il observer. Ça ce n'est que la phase de la collecte. Pour celui que l'on surnomme le gourou pour sa fulgurance et sa clairvoyance dans le paysage médiatique, le mojo a aussi révolutionné le traitement de l'info collectée. Sur un bon téléphone portable, on peut monter aussi bien le son que les images grâce à des applications disponibles sur Internet fait-il remarquer. L'époque du tout régie est révolue a-t-il martelé. Aussi, collectée et traitée, les infos peuvent rapidement être envoyées à la rédaction via les réseaux sociaux notamment Wathsap, YouTube et Facebook suggère-t-il. «Le téléphone est l'outil clé du journaliste actuellement» selon Patient Ligodi. Car il permet aux chevaliers de la plume d'avoir en même le texte, le son, l'image et la photo a renchéri l'orateur. Autre atout du iPhone, le montage qu'il rend possible a souligné l'expert en Mojo. La cerise sur le gâteau :le smartphone permet aussi aux journalistes de diffuser l'information. Le smartphone est donc le Graal du journaliste moderne. Mais Ligodi a tout de même précisé que le iPhone seul ne suffit pas. Il faut le bourrer d'une foultitude d'application pour qu'il soit réellement Mojo- compatible. Par ailleurs les occidentaux sont déjà en avance sur le créneau Mojo. Il y a des papiers écrits par des robots a-t-il déclaré. Certains reportages sont faits par des machines a-t- Il révélé. À la question de savoir qu'elle est le téléphone portable qu'il conseillerait aux professionnels des médias. Ligodi Patient, sans ambages, a opté pour le Huawei Mate 8. Selon lui, ce smartphone a tout ce dont a besoin un journaliste pour bien faire son job. Prise en main parfaite, design irréprochable, prise de photos à l'avant comme à l'arrière éblouissante, prise de sons parfaite, excellente autonomie de la batterie, capture d'écran facile, etc... le Mate 8 est le smartphone idéal pour le mobile journalisme selon le thésard Patient Ligodi.

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