En date du 25 mars 2015, le journal Le Potentiel a publié dans son tirage N° 6689 en page 9, un article sur l’ISAM-Kinshasa intitulé «ISAM-KINSHASA : une initiative de contrôle parlementaire en gestation». Aucune des allégations contenues dans cet article n’a fait l’objet d’une vérification à la source. Par conséquent, l’auteur de cet article, le pseudo P.M., s’est rendu responsable des déclarations aussi bien fausses, ridicules que vexatoires.
En effet, voici ce qu’il aurait pu apprendre en allant à la source : - L’autorité de tutelle ne prélève aucun denier sur la construction à l’ESU, les effectifs de l’ISAM/Kinshasa n’ont jamais atteint 2.300 étudiants là où on affirme sans ambages que les effectifs ont été de 2800 pendant 4 ans, l’affectation des fonds fait l’objet d’une réglementation stricte et régulièrement contrôlée.
Pour n’avoir pas essayé de s’informer, il ne pouvait savoir par exemple qu’un bâtiment R+2 est en construction actuellement à l’ISAM/Kinshasa (Cfr les Etablissements Bahati) ni que l’ISAM/Kinshasa a acquis un terrain de 20 hectares dans la commune de Mont-Ngafula pour ne parler que de cela.
L’auteur a chuté sur la qualification des autorités académiques, une rengaine récurrente que toute la communauté de l’ISAM/Kinshasa connaît par cœur et c’est là la vraie raison de cette agitation. Des personnes véreuses en mal de positionnement se livrent à cet exercice depuis un bout de temps. Mais pour la gouverne de l’auteur, l’article 13 du statut du personnel de l’ESU dispose que l’autorité qui en a l’attribution peut nommer toute personne jugée digne et compétente nonobstant l’alinéa 1er dudit article. Du reste, la filière dont il est question n’a pas encore de docteur à thèse en RDC.
Nous mettons Le Potentiel au défi d’amener la preuve des allégations qui sont en vérité constitutives de diffamation et nous nous réservons le droit de saisir les instances judiciaires quant à ce.
Pour le Directeur Général de l’ISAM/Kinshasa en mission
CT NZUVA KASSAY Marie Josée
Secrétaire général académique
Ndlr : La rédaction prend acte de ce droit de réponse.