Société

La circulation sur la route Elengesa, dans le tronçon compris entre les avenues Mompono et Nyangara, connait ces derniers jours une perturbation. Et pour cause, les trois grandes têtes d’érosions enregistrées depuis quelques années, causent des embouteillages et des accidents. Si rien n’est fait avant la saison de pluie, pensent certains observateurs, la commune de Ngiri-Ngiri sera découpée en parties nord et sud.

Les habitants des chefferies de Wagongo et Mokambo en territoire de Mahagi plaident pour la réhabilitation urgente de la route Mahagi-Port Mokambo, longue d’environ 100 kilomètres. Dans un memo signé par 5 000 personnes, ils demandent au gouvernement de désenclaver leur région. D’après des sources locales, cet axe routier s’est dégradé depuis 1996.

Dix-sept personnes sont mortes de la rage canine sur les deux-cent-sept victimes de morsures des chiens depuis janvier dernier dans la nouvelle province de l'Ituri. Le chef de la Cellule animale de l'Inspection provinciale de l'Agriculture, Pêche et Elevage de l'Ituri, docteur André Lobo a livré ces chiffres à l’occasion de la journée internationale de lutte contre la rage, célébrée le 28 septembre de chaque année.

Les jeunes de Goma au Nord-Kivu et de Gisenyi au Rwanda ont marché dimanche 27 septembre, à l’occasion de la journée mondiale de la paix célébrée le 21 septembre de chaque année. Cette marche a été organisée dans le cadre de "Tujenge Amani" (construisons la paix, en Swahili) qui est un projet transfrontalier entre les villes de Goma et de Gisenyi pour consolider la cohabitation pacifique des peuples de ces deux villes voisines à travers les activités de sport, culture et art et autres. Selon les organisateurs de la marche, le projet “Tujenge Amani” a permis de déconstruire les préjugés des

(ZONGO)- Les activités sont paralysées dans la ville de Zongo au Sud-Ubangi, dans la province de l’Equateur, suite aux affrontements qui se poursuivent entre deux factions ethno-tribales incontrôlées dans la capitale centrafricaine. Lundi, les activités tournaient au ralenti. Des coups de feu qui ont crépité dimanche et lundi à Bangui, ont plongé la population dans la peur totale. Sur le fleuve, la traversée est constatée de manière très fréquente. Des centrafricains arpentent le fleuve pour trouver refuge au Congo-Kinshasa, a indiqué Stéphane Mopila, le président de la société civile locale.

La Société nationale d’assurances (Sonas) continue avec l’indemnisation des sinistrés. Au cours de l’opération «jeudi sinistre» du 24 septembre 2015,20 agences de Kinshasa ont traité et payé 163 dossiers.

Avec la montée en puissance de l’insécurité avec des tirs sporadiques de balles chaque nuit ou presque, des vols à mains armées et viols... l’insécurité se porte bien dans cette commune autrefois paisible. Le tout dans une indifférence étonnante du bourgmestre Senghor Biya Kikuana qui, pour beaucoup, fait semblant d’ignorer la réalité. « Trop bureaucrate, il est difficilement joignable par la plupart de ses 442 138 administrés, pris littéralement en otage par les barbares et les hors la loi », se plaint un habitant.

Ce n’est pas une insulte lorsqu’on qualifie un être humain de « monstre ». Tout être humain qui a une conformation contre-nature est appelé dans le jargon médical monstre. Cette mise au point est importante car cet article a un but pédagogique. Promouvoir autant que faire se peut les consultations prénatales (CPN) chez les femmes enceintes afin qu’elles accouchent au mieux. Pour ne l’avoir pas fait, faute d’argent ou d’information, une femme a mis au monde le jeudi 24 septembre 2015 un enfant atteint d’une pathologie rare : l’anencéphalie.

Dix-neuf personnes ont été blessées, dans un éboulement de terre qui s'est produit samedi 26 septembre à la concession minière de Mining minerals ressources (MMR), située à 224 kilomètres sur l'axe Kalemie-Nyunzu, dans le territoire de Nyunzu, province de Tanganyika. Les témoins attribuent cet éboulement de terre à une panne de motopompe qui a échoué de tirer des eaux de trous.

Le député provincial du Nord-Kivu Simon Kazungu déplore la profanation du cimetière de l'ITIG, à Goma. Il a fustigé cette situation dans un entretien accordé, samedi 26 septembre, à Radio Okapi : «Je suis vraiment choqué de ce que je viens de voir au cimetière dénommé communément l'ITIG. Vous vous rendez compte de la situation des gens qui, après une semaine, ne peuvent pas voir les tombes de leurs parents et grands-parents.