En effet, sa première démarche a été de faire un tout d’horizon auprès des acteurs impliqués dans cette problématique non seulement à Kinshasa, mais aussi sur le terrain du fait des hostilités dont le pays était victime pendant plus de dix ans avant la paix retrouvée en 2013 ; là où se trouvent les premières personnes vulnérables qui ont connu ses affres là.
Ainsi, après avoir écouté tout le monde, il était tout à fait normal que parce que c’est une politique de l’ensemble de la Nation, d’échanger avec les différentes autorités impliquées. « Je crois qu’on a à la tête du pays des personnes engagées aux côtés des femmes dans la lutte contre les violences qui atteignent les femmes et leurs enfants », dit-elle, avant d’ajouter que les femmes par la violence sexuelle, leurs enfants par le recrutement dans les groupes armés.
Que ce soit au niveau du Président Kabila, du Premier ministre, elle a trouvé assez de réceptivité. Mais au quotidien, il y a de tas d’héros dans l’ombre. C’est vrai qu’aujourd’hui on a cité le Dr Mukwege à l’international, mais il y a aussi au niveau de l’administration congolaise une justice militaire qui est très engagée. On doit améliorer le moyen logistique pour faire avancer cette cause.
JMNK
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