C’est une vraie marée humaine qui a envahi, ce mercredi 1er octobre 2014, la Tribune du 8 mars de la ville de Beni où s’est tenue la première audience de l’assassinat du général Mamadou Ndala, tué le 2 janvier de cette année. Tant attendue, cette audience s’est ouverte à 10h locales dans un climat électrique, sur fond d’une présence remarquable des forces de sécurité déployées pour la circonstance.
Présidé par le colonel Joseph Maya de la Cour militaire du Nord-Kivu, l’affaire a vu défiler à la barre quelque 12 personnes sur le 21 qui sont en détention.
Politique
Après avoir pris le jeudi 25 septembre 2014 la grave décision de démettre l’abbé Bahala de ses fonctions du président du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel et de la Communication « CSAC » et de le remplacer par Tito Ndombi, l’Assemblée plénière de l’organe précité a prévu d’organiser la cérémonie de remise et reprise entre le président déchu et son successeur hier mercredi 1er octobre 2014 Une ambiance particulière a régné hier au CSAC où des éléments de police chargés de la protection des institutions et de hautes personnalités&nbs
Toute révision de l’actuelle constitution pour permettre au président Joseph KABILA de briguer un troisième mandat à la tête de la République va briser le consensus national qui a permis la réunification du pays et la mise en place des nouvelles institutions après les guerres de l’AFDL et du RCD. Telle est la conviction de l’Ong ASADHO développée dans la lettre adressée hier au secrétaire général de l’ONU.
Plus de 100 personnes parmi les combattants démobilisés, leurs femmes et leurs enfants qui avaient été envoyés dans un camp militaire reculé en République démocratique du Congo y sont mortes de faim et de maladie après que les responsables ont négligé de leur fournir la nourriture et les soins de santé appropriés, a déclaré HumanRights Watch aujourd’hui
Démarche gauche, sinon naïve, initiative quelque peu maladroite et mal orientée, le projet qu’une certaine jeunesse qui se réclame « de fidèles catholiques », mais apparemment manipulée, a lancé hier mercredi 1er octobre 2014 dans la commune de la Gombe, n’a pas récolté les dividendes politiques attendus, ni suscité les remous que ses initiateurs comptaient provoquer au sein de l’église catholique et de l’opinion nationale.
Une centaine des jeunes cadres catholiques se réclamant de la Majorité se sont rendus hier mercredi 1er octobre 2014, à la Nonciature pour déposer une pétition dans laquelle ils désapprouvent la prise de position des évêques contre toute modification de l’article 220 de la constitution de la République Démocratique du Congo.
N’étant pas reçus car les portes de la Nonciature étaient fermées, ces jeunes cadres catholiques de la Majorité ont tout simplement glissé leur pétition dans la boite aux lettres du bâtiment.
Deux nouveaux bâtiments, l’un abritant le Centre National de Commandement, de Contrôle et de Coordination, (C3C) et l’autre où est logé le Service de gestion et entretien des infrastructures, (SGEI) ont été remis à la Police nationale congolaise (PNC) par la Coopération britannique et l’Union européenne, en collaboration avec le gouvernement congolais. C’est le Premier ministre MatataPonyo qui a procédé à cette double inauguration, le mercredi 1er octobre 2014 au Commissariat Général de la Police nationale.
La question des tracasseries et exactions aux postes frontaliers de la République Démocratique du Congo a été au centre des débat, à la plénière d’hier mercredi 1er octobre, 2014 de l’Assemblée Nationale.
Ils jugent dangereuse pour le salut de leurs âmes, la tendance à la politisation de leurs lieux de culte, de la chair apostolique et de leurs conducteurs spirituels.
" Il faudra bien réfléchir avant de prendre la décision de réviser la constitution de la République. Si elle aura des conséquences sur la stabilité du pays, il serait mieux de s’abstenir ", a déclaré hier le diplomate germanique, Wolfgang Manig
En prélude de la fête de l’unité allemande célébrée le 3 octobre de chaque année, qui exceptionnellement pour l’année 2014, se fête ce jeudi 2 octobre, l’ambassadeur de la République fédérale d’Allemagne en République démocratique du Congo, Wolfgang Manig est revenu sur la question de la révision constitutionnelle dans son pays accréditaire.