Sécurité

Eu égard aux tristes événements actuellement en cours  dans la province du Nord-Kivu, caractérisés notamment par des affrontements interethniques entre les communautés Hutu et Nande, le caucus des députés Hutu élus des territoires de RUTSHURU, GOMA et MASISI prend à témoin l’opinion tant nationale qu’internationale sur les risques sécuritaires et humanitaires graves qui pèsent sur les populations de cette province en général et celles du sud du territoire de Lubero en particulier. Le caucus des députés Hutu déplore : L’aggravation de la situati
Après avoir passé 40 ans de loyaux services à la nation, la commissaire supérieure principale (colonel full) de la Police nationale congolaise invite les jeunes filles de cette génération à travailler sous le drapeau. Régine Basimike indique que la police, est un métier comme tout autre. C’est vrai, reconnait cette mère de six enfants, qu’il faut du temps pour arriver à donner aux jeunes le goût d’intégrer la police ou l’armée.
Le chef milicien Maï-Maï, Ngombe Musemwa, s’est rendu mardi 8 mars à l’armée dans le groupement Kitobo à Mitwaba (Haut Katanga).
Ntoto, Walikale, Nord-Kivu. RD Congo: une patrouille de domination de terrain menée par le bataillon indien de la Force de la MONUSCO à Ntoto.
Pour faire aux menaces et représailles des groupes armés contre la population civile, les forces de la MONUSCO et les FARDC sont sur plusieurs fronts au Nord-Kivu. Au cours de la conférence de presse des Nations Unies, tenue hier mercredi 9 mars, le porte-parole militaire de la Mission Onusienne, le lieutenant- colonel Martin Amouzoun Codjo a fait l’état de lieux de la situation sécuritaire dans la partie Est du pays.
Vagues d’agressions dans les rues, sur les petits ponts et petits sentiers reliant des quartiers, aux abords des cours d’eau, vols à main armée en cascade dans de maisons d’habitation, cambriolages de boutiques et autres alimentations, dans les différents quartiers des communes de la ville de Kinshasa : les plaintes de victimes se multiplient aux postes de police.
Le processus de reddition des combattants des groupes armés piétine depuis quelques jours au Sud-Kivu dans l’est de la RDC. La plupart des miliciens qui s’étaient prononcés pour leur reddition seraient en train de retourner en brousse, au motif que leur sort à la vie civile n’est pas rassurant. A Shabunda comme à Kalehe, la société civile exige de l’Etat congolais, un mécanisme clair d’encadrement des combattants qui acceptent de se rendre. Le processus de reddition des combattants des groupes armés était plus facilité par deux éléments importants.
La Monusc appuie « toutes les bonnes initiatives» visant à mettre un terme au conflit entre les Nande et Hutu dans les territoires de Rutshuru et de Lubero  au Nord-Kivu.
Des hommes armés identifiés aux miliciens de la Force de résistance patriotique de l’Ituri (FRPI) ont fait une incursion la nuit de dimanche à lundi 7 mars dans quatre villages au sud d’Irumu (Ituri). L’administrateur du territoire d’Irumu, Rachel Taruayo, affirme qu'une personne a été tuée. De l'argent, des chèvres, des poules, des cochons et des habits ont également été emportés. Selon la même source, les assaillants ont tiré sur un septuagénaire et se sont introduits dans 39 maisons. Ils auraient également blessé un homme. L’administrateur du territoire plaide pour l’installation d’une
Le président de l’Union pour la nation congolaise (UNC), Vital Kamerhe, a fait part au Premier ministre Matata Ponyo, mardi 8 mars, de ses inquiétudes sur la sécurité dans l’Est de la RDC. A la tête d’une délégation de notables Nande et Hutu ainsi que des députés de l’Ituri, il a expliqué au chef du gouvernement les problèmes d’insécurité auxquels font face les habitants de la partie Nord de la province du Nord-Kivu et ceux de l’Ituri. A la fin de leurs discussions, l’ancien président de l’Assemblée nationale a déclaré être parti prévenir le Premier ministre de la «somalisation» de cette par