Les réfugiés rwandais vivant en Rdc déplorent les dégâts collatéraux constatés dans ta traque des Forces Démocratiques de Libération du Rwanda (FDLR) au Kivu. Ils expriment leurs inquiétudes suite aux dégâts collatéraux de l’opération militaire lancée depuis le 15 janvier courant par les Fardc contre les Fdlr.
Dans un communiqué, les refugiés rwandais vivant en Rdc indiquent que des milliers de réfugiés civils-à majorité femmes et enfants-ont fui en cascade dans des fins fonds des forêts à cause de la traque des Fdlr.
Sécurité
Plus de 2800 réfugiés burundais ont été déjà enregistrés, à la date du vendredi 24 avril, par la Commission nationale pour les réfugiés (CNR) dans les territoires d’Uvira et de Fizi au Sud-Kivu. Ces réfugiés, qui traversent sporadiquement en masse depuis fin mars dernier, disent avoir fui «l’enrôlement forcé dans la milice du pouvoir» au Burundi voisin.
Dans un communiqué, la Fondation Bill Clinton pour la Paix (FBCP) se dit préoccuper par le sort des combattants et cadres de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS) arrêtés le vendredi 24 avril courant à Kinshasa et à Mbuji-Mayi par la Police nationale Congolaise (PNC).
L’Ongdh déplore la répression brutale de cette marche pacifique de l’UDPS, alors que les manifestations pacifiques ont toujours été autorisées par la Constitution du 18 février 2006 dans son article 26.
D’après les enquêteurs de la FBCP, près de 50 combattants de I’UDPS ont été arrêtés par la police et détenus
Des troupes de l’armée rwandaise se signalées au milieu de la semaine dernière dans le territoire de Nyiragongo, au Nord-Kivu.
La machine de fabrication des rébellions a repris du boulot en Ouganda et au Rwanda. La nouvelle rébellion annonce déjà ses couleurs par des incursions signalées aux frontières entre la RDC et le Rwanda d’une part, et entre la RDC et l’Ouganda d’autre part. Cette nouvelle rébellion s’appellerait, le Mouvement chrétien pour la reconstruction du Con go, selon la dépêche de RFI.
En République démocratique du Congo, le gouverneur de la province du Nord-Kivu, Julien Paluku, a affirmé jeudi qu’une nouvelle rébellion serait en gestation en Ouganda.
La commission technique mixte chargée de la délimitation des frontières entre la RDC et le Rwanda a procédé vendredi 24 avril au placement des GPRS (General Packet Radio Service) à certains endroits stratégiques des deux pays, notamment au Mont Goma ainsi qu’au Mont Kama. Le but est d’identifier à partir de ces deux points GPRS, les bornes fixées par le colonisateur en 1911.
Ce que l’on craignait depuis le mois dernier, après l’annonce par la commission mixte d’«experts» congolais et rwandais, du, début de l’opération de pose de nouvelles bornes frontalières au Nord-Kivu, est finalement arrivé. Un contingent de l’armée rwandaise, évalué à une centaine d’hommes, a traversé la frontière commune au niveau de la localité de Kasizi, dans le territoire de Nyiragongo.
Magasins, boutiques, marchés, écoles… sont restés fermés pour protester contre l’insécurité entretenue dans cette cité côtière par ces miliciens venus de l’Est en transit à la base militaire de Kitona
Toutes les activités sont restées paralysées au cours de la journée d’hier jeudi 23 avril 2015 à travers toute l’étendue de Moanda, une cité située sur la côte Atlantique au Sud-ouest de Kinshasa, à quelques 240 Km de la ville portuaire de Matadi, Chef-lieu de la province du Kongo central.
Magasins fermés, pas de marché, pas d’école, pas de travail….
(tv5monde.com)Les trois personnes enlevées jeudi au Nord-Kivu, dans l'est de la République démocratique du Congo, sont employées par une société privée travaillant en sous-traitance pour l'ONU, a-t-on indiqué vendredi à la Mission des Nations unies en RDC (Monusco).
"Il ne s'agit pas d'agents de l'ONU, ce sont des agents privés employés par une société privée qui fait de la sous-traitance pour UNMASS", le service d'action antimines des Nations unies, a déclaré à l'AFP Charles Bambara, directeur de l'information publique de la Monusco.
L'identité des ravisseurs restait inconn
La confirmation, mercredi 15 avril 2015 par le gouverneur du Nord-Kivu (Est de RD Congo), de la présence d’une centaine de soldats rwandais dans le parc des Virunga a accru l’inquiétude des habitants du territoire de Nyiragongo.
« Une patrouille de reconnaissance de l’armée congolaise, accompagnée de gardes du parc, a pu confirmer la présence de militaires rwandais sur la colline Musangoti, à environ 1 000 mètres à l’intérieur du territoire congolais. Une zone en plein parc des Virunga à un peu plus de 100 km au nord de Goma.