Société

Sous le RC 109.613, la Compagnie Africaine d’Aviation (CAA) a attrait au Tribunal de Grande Instance de Gombe, la société Brussels Airlines afin d’obtenir le remboursement de toutes les dépenses effectuées lors de la réparation de son avion qui était endommagé dans la nuit du 12 au 13 décembre 2013, à l’aéroport international de N’Djili, par un engin d’assistance au sol de la société Brussels Airlines. Elle réclame des dommages et intérêts de l’ordre de 500.000 dollars, et 1 million 710.000 dollars de manque à gagner, etc.
Le nombre de personnes déplacées internes au Katanga a augmenté de près de 67 000 personnes au cours des deux derniers mois (juillet et aout), passant ainsi de plus de 543 000 en juin à plus de 607 000 déplacés au mois d’aout, selon la Commission mouvement des populations. Ce qu’a affirmé Ocha dans son rapport humanitaire d’hier mercredi 10 Septembre. De ce chiffre, 75% des déplacés ont été dénombrés dans le District du Tanganyika, entre autres dans les territoires de Nyunzu et Manono, suite au, conflit communautaire entre les Lubas et pygmées. Avec 64%, les attaques armées restent la cause ma
Dans l’une de ses dernières livraisons, la très officielle Agence Congolaise de Presse (ACP) a fait part de l’arrivée imminente à Kinshasa, la capitale de République démocratique du Congo, d’une délégation de laïcs du diocèse de Mbuji-Mayi au Kasaï Oriental, afin de s’en référer à la hiérarchie nationale de l’Eglise catholique et à la Nonciature sur le malaise croissant régnant dans leur diocèse. De milieu informé et proche du diocèse de Mbuji-Mayi, on parle d’un torchon qui brûle entre le numéro un de diocèse et une partie de son clergé. En effet, à l’approche de la date de la célébration du
L’épidémie de la maladie à virus Ebola, qui a été déclarée officiellement depuis le 24 aout 2014 dans le secteur de Djera, en territoire de Boende, dans le district de la Tshuapa, au sud de la province de l’Equateur, reste contenue jusqu’à ce jour dans ce secteur. Mais le nombre de cas et de décès dus à cette maladie a augmenté ces derniers jours. Selon le ministre de la Santé publique, le Dr Félix Kabange Numbi, le bilan de l’épidémie, jusqu’au mercredi 10 septembre 2014, est 35 décès sur 65 cas.
La société civile du Katanga recommande à la Cour suprême de justice d’inculper pour haute trahison tout initiateur d’une proposition de révision de la constitution.
En levant la mesure de suspension Emporté dans ses hallucinations, le ministre des PT-NTIC a embarqué maladroitement le gouvernement dans un dossier qui n’avait rien d’illégal et de compromettant pour la République. Une lettre signée par le directeur de cabinet du président de la République et datée du 9 septembre 2014 vient de clore un litige qui n’aura finalement existé que dans la tête de Tryphon Kin-Kiey Mulumba.
L’ARPTC invitée à ne pas suspendre la firme chinoise.  * La procédure en cours à la Cour suprême de justice jugée sans intérêt  par rapport aux statuts de l’organe de régulation. Si ce n’est pas une lettre couperet voire coupe-gorge, ça y ressemble fortement. Dans ce qu’il est convenu d’appeller « feuilleton StarTimes », l’intervention de Me Beya Siku, directeur du cabinet du chef de l’Etat paraît avoir valeur d’épilogue.
Le cortège funèbre de trois religieuses italiennes assassinées dimanche 7 septembre à Kamenge, au Burundi, mercredi 10 septembre après-midi à Luvungi, dans la plaine de la Ruzizi (Sud-Kivu). Il était accompagné par plusieurs délégations, notamment les pères et les sœurs xavériens, le diocèse d’Uvira ainsi qu’une délégation du Burundi. Les corps seront exposés a Luvungi ou les défubtes ont longtemps vécu, avant leur inhumation à Bukavu. L’émotion était vive au rond-point Kavimvira où le cortège funèbre est passé.
Les habitants de la localité de Kabondola, à plus de 90 km au sud de Bukavu (Sud-Kivu), fuient depuis trois jours leurs habitations. Ils craignent pour leur vie suite à un renforcement des positions des rebelles burundais du Front national de libération (FNL).
Environ 8 924 malnutris ont été soignés, entre janvier et juin dernier, sur 10 823 personnes enregistrées dans le district du Tanganyika (Katanga). Le groupe d’agences onusiennes et ONG en charge de la nutrition ont livré cette information, mardi 9 septembre, à l’occasion de la célébration de la journée mondiale de l’aide humanitaire. Cette malnutrition est attribuable à l’insécurité généralisée causée par les Bakata Katanga, à d’autres miliciens et aux conflits intercommunautaires dans cette partie de la RDC.