Les provinces du Nord et du Sud-Ubangi accueillent à ce jour près de cent mille réfugiés centrafricains, malgré l'arrivée au pouvoir de nouvelles autorités élues en République centrafricaine.
Selon le service des migrations du Nord-Ubangi, ces personnes qui traversent par la rivière Ubangi fuient l’insécurité pour trouver refuge en RDC.
Elles sont regroupées pour la plupart dans les camps de Mole, Boyabu, Inke et Bili.
Société
Onze mille réfugiés rwandais ont été identifiés dans le Sud-Kivu, depuis le début de l’enregistrement biométrique, a indiqué lundi 20 juin à Radio Okapi, le coordonnateur provincial de la Commission nationale pour les réfugiés (CNR), Gracient Mupenda.
Il l’a déclaré lors de la journée mondiale des réfugiés célébrée le 20 juin de chaque année.
« Notre objectif c’est d’atteindre plus au moins 42 000. Lorsque nous aurons ces chiffres, nous recomptons toutes les intentions de retour avant de commencer le rapatriement.
La pression aura été forte. Principalement, du côté de l’Union de la presse du Congo qui avait, déjà, décrété des lundis sans presse et sans recharge des crédits. Heureusement qu’hier, dans la soirée, le Président de l’Autorité de Régulation de la Poste et des Télécommunications, M. Oscar Manikunda Musata, a lâché un communiqué de presse, enjoignant les opérateurs de la Téléphonie Mobile d’annuler leurs nouvelles offres tarifaires et de revenir aux anciennes grilles tarifaires pour les services voix (intra-réseaux et inter-réseaux) et internet.
Le ministre de la Défense nationale a donné samedi 18 juin le coup d’envoi officiel de l’évacuation des ex-combattants issus des groupes armés de l'Est de la RDC, cantonnés à la base militaire de Kamina (Haut-Lomami), vers leurs familles respectives. Dans la première phase de l’opération, 53 démobilisés ont été évacués et près de 2300 autres attendent le prochain tour.
Une vingtaine d’enseignants de l’Ecole primaire d’Excellence de Kisangani réclament leurs salaires de huit mois.
Dans une manifestation organisée, samedi 18 juin, ils ont accusé leur directeur d’être à la base de cette situation et réclament l’intervention des autorités provinciales pour qu’ils rentrent dans leurs droits.
Ces enseignants ont accusé le directeur d’école d’avoir retiré récemment la somme de 4 400 000 franc congolais (4700 dollars américains) de frais de fonctionnement des mois d’avril et mai derniers pourtant ils ne sont toujours pas payés.
«Le 13 juin, le directeur a sor
Une affaire de migration clandestine à la frontière entre la République démocratique du Congo et la Zambie : les agents de la Direction générale des migrations (DGM) en RDC ont découvert une centaine de personnes cachées dans le conteneur chargé sur un camion. Le véhicule empruntait le territoire congolais pour rejoindre la Zambie.
Les FARDC ont repris le contrôle du village Peti du groupement Kisimba dans le territoire de Walikale, de mains des miliciens du groupe NDC Rénové. Ces derniers se sont retirés, sans combats, vers les collines de Kalinga et Mbombi. Pendant ce temps, à 18 Km de Peti, à Kalembe, des bandes armées assimilées aux Maï-Maï Nyatura et FDLR tracassent les habitants.
Les militaires des FARDC ont fait leur entrée la nuit du vendredi au samedi 18 juin dans le village Peti.
La Mission des Nations unies en RDC (Monusco) a installé des paratonnerres dans une cinquantaine d’écoles de la commune rurale d’Oicha, chef-lieu du territoire de Beni au Nord-Kivu.
Selon la Mission onusienne, le but de ce projet à impact rapide est de protéger des élèves et enseignants contre les foudres.
Pour l’Ir Grace Mugisha de l’entreprise COMOA exécutant de ce projet, ce don a couté environ 31 000 USD.
« Ce projet a consisté à la mise en place des paratonnerres dans 50 écoles. Chaque école a bénéficié d’environ 500 $ pour la protection des civils.
Selon une réquisition en circulation, l’Avocat général Joseph Nsabua a ordonné le 15 juin 2016 le dégel des avoirs et comptes bancaires des sociétés apparentées au Groupe Blattner, gelés il y a une semaine dans le cadre d’une plainte du gouverneur de la Banque la banque centrale du Congo contre les actionnaires et anciens dirigeants de la banque commerciale tombée en faillite.
La sulfureuse affaire de la banqueroute de la Banque internationale pour l’Afrique au Congo -BIAC-, à l’image d’un feuilleton, a connu un nouvel épisode le 15 juin.
«La bancarisation c’est la contribution du gouvernement au développement du système financier RD-congolais. Mais c’est également la modernisation et la viabilisation des revenus des fonctionnaires de l’Etat qui ne souffriront plus de toutes ces opérations mafieuses qui avaient autour des salaires», assène le ministre de l’industrie.
Ministre RD-congolais de l’industrie, Germain Kambinga Katomba, refuse d’assister impuissant aux attaques et autres critiques dont le gouvernement est victime. Il décide de recadrer le débat.