Tribune

L'œil du Chef pour la réussite du lancement de la gratuité de l'enseignement de base dans un contexte de conflit d'intérêts politiques avec le FCC.Redresseur et promoteur du secteur des hydrocarbures avec une gestion performante de la crise russo-ukrenienne aux externalités négatives. Didier Budimbu a su épargner la RDC de la rareté du carburant et des crises sociales y affrentes.
Dans un environnement politique féroce, il a choisi la méthode plutôt que le tumulte. Ses détracteurs l’ont sali, mais sa gestion a tenu bon. Aujourd’hui, alors que les procès médiatiques s’essoufflent et cèdent progressivement la place à de vrais procès qui identifient de vrais coupables, l’opinion redécouvre cet homme que la République n’aurait jamais dû trahir.
À 3 ans de la fin du second mandat et au regard des enjeux de l'heure, il est souhaitable que le prochain gouvernement soit constitué des vrais Tshisekedistes et non de ceux qui projettent leur avenir politique basé sur les intérêts individuels.Le temps à travers la coalition CACH-FCC ainsi que la création de l'Union sacrée ayant été très instructif, nous demandons au Président de la République de tirer toutes les conséquences de la série de trahison connue et se souvenir de son école qui n'est pas dépourvue des capacités car, l'histoire s'écrit maintenant.
Tribune Libre n°121 ( Steve Mbikayi )Joseph Kabila : une conception coutumière du pouvoir politiqueL’évolution récente de l’actualité congolaise amène à une interrogation troublante : pour que la paix règne en RDC, la famille Kabila doit-elle être systématiquement associée au pouvoir ?En 1996, LD  Kabila, propulsé par le Rwanda et l’Ouganda, fut imposé à la tête d’une prétendue rébellion, puis propulsé au pouvoir. Avec lui, l’infiltration silencieuse de nos institutions par des personnalités étrangères.
Le CHU Renaissance, anciennement Hôpital Maman Yemo, est aujourd’hui le théâtre d’un affrontement discret mais révélateur : celui entre la volonté de réforme et les forces du statu quo. Sous la direction de l’ingénieur Al Kitenge, cette structure hospitalière emblématique connaît des mutations profondes et visibles, pourtant décriées par une minorité opposée au changement.Des voix s’élèvent, accusant la gestion actuelle de favoritisme, de tribalisme ou de clientélisme.
L’accord de paix signé le 27 juin 2025 à Washington entre la RDC et le Rwanda soulève à l’intérieur du pays des sentiments controversés au niveau tant de la classe politique que de la population elle-même. Les deux catégories se posant légitimement la question de savoir si la fin de la guerre est à l’horizon ou s’il s’agit d’un nouveau camouflet qui serait cette fois la base de la balkanisation ou de l’éclatement pur et simple de notre pays.
Par Éric KambaChercheur indépendant en relations internationales Fondateur du concept de diplomatie de couloir Fondateur du think tank CADA – Congo Action pour la Diplomatie Agissante.Résumé:
La réforme de la facture normalisée est bien plus qu’une simple mesure administrative pour notre pays.
Parution du livre “Le pouvoir caché de la diplomatie informelle – quand l’État ne suffit pas”Dans un contexte géopolitique en pleine mutation, où les rapports de force se redéfinissent à grande vitesse, la République Démocratique du Congo (RDC) ne peut plus se contenter des seules voies officielles de sa diplomatie. C’est l’alerte – mais aussi la proposition de rupture – que lance Éric Kamba, géostratège et analyste politique, dans un ouvrage majeur intitulé :Le pouvoir caché de la diplomatie informelle – quand l’État ne suffit pas.
Washington, 27 juin 2025. Dans une salle solennelle du Département d’État américain, la signature d’un accord entre la République démocratique du Congo et le Rwanda suscite une onde d’espoir rarement vue depuis le début des guerres à répétition dans la région des Grands Lacs.

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