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Après incursion à Bukavu d'un groupe rebelle la nuit de mardi à mercredi 03 novembre 2021, le gouverneur de la province du Sud-Kivu Théo Ngwabidje Kasi, rassure que la situation pour l'instant est sous controle de l'armée et de la police. Dans un communiqué public et dont une copie est parvenue à 7SUR7.CD,  il salue la vigilance des services de sécurité et appelle la population au calme.

Des détonations d'armes lourdes et légères continuent à se faire entendre dans la ville de Bukavu au Sud-Kivu, en République démocratique du Congo. Depuis 1h de ce mercredi 03 novembre 2021, un groupe rebelle a fait incursion dans le chef-lieu de la province du Sud-Kivu. Dans sa communication de ce matin, le général Bob Kilubi, numéro 1 de l'armée dans cette partie du pays, indique que l'armée cherche à rétablir l'ordre et à arrêter ces rebelles qui disaient vouloir libérer le pays.

Toutes les entrées de la ville de Bukavu sont pour le moment bloquées par les éléments des Forces Armées de la République Démocratique (FARDC). La précision est du numéro 1 de l'armée au Sud-Kivu, le général Bob Kilubi, ce mercredi 03 novembre 2021 après incursion des éléments du mouvement CPC 64. "Nous avons préféré les contenir pour les prendre en sandwich. Nous avons bloqué toutes les sorties et nous nous préparons à mettre la main sur ces rebelles", martèle-t-il 

Un groupe rebelle dénommé CPC 64 a fait son incursion dans la ville de Bukavu, chef-lieu du Sud-Kivu dans la nuit du mardi à ce mercredi 03 novembre 2021. Selon le général Bob Kilubi, commandant de la 33e région militaire, ce groupe a fait incursion vers 1h du matin en tirant plusieurs balles avec un motif de libérer le pays.

Dans son discours ce mardi 2 novembre 2021 à l’occasion du Sommet sur l'Accélération de l'adaptation en Afrique COP26, Félix Tshisekedi a insisté sur l'intensification de l'adaptation de l'Afrique.  Pour le président en exercice de l'Union Africaine, le temps des projets pilotes est terminé. 

Après un processus préparatoire de plus d'une année, la République démocratique du Congo et l'Initiative pour la Forêt de l'Afrique Centrale (CAFI) signent ce mardi 2 novembre 2021 à Glasgow en Ecosse, la 2ème phase de leur partenariat pour une durée de 10 ans (2021-2031). L'accord prévoit que les pays donateurs débloquent en faveur de la RDC 500 millions de dollars sur la période de 5 ans  (2021-2026).

Le siège du Syndicat National des Enseignants du Congo (Synecat) à Kinshasa a été vandalisé ce lundi 1er novembre 2021 dans l'après-midi au moment où se tenait l'assemblée générale évaluative de la grève déclenchée au début du mois d'octobre par la synergie des enseignants du Congo. C'est le secrétaire général du Synecat Jean-Bosco Puna qui a confirmé cette information dans une interview accordée à 7SUR7.CD .

La République démocratique du Congo et le Royaume de Belgique s'activent pour relancer leur partenariat. C'est ce cadre qu'une délégation des parlementaires belges, conduite par le ministre d'État de la Belgique, André Flahaut, séjourne dans la ville de Kinshasa.  Ce lundi 1er novembre 2021, elle a été reçue par le premier ministre, Jean-Michel Sama Lukonde, avec qui plusieurs questions relatives, entre autres, à la relance dudit partenariat, au processus électoral, à l'enseignement, à la santé et à l'économie, ont été évoquées. 

10 rebelles ont été capturés par les Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) samedi 30 et dimanche 31 octobre 2021 dans les territoires de Kalehe et de Kabare, en province du Sud-Kivu. Dans une adresse à la presse, Pascal Cimana, administrateur assistant du territoire de Kalehe, a affirmé que ces rebelles dont la plupart sont identifiés comme des hutus rwandais, ont été capturés à l'issue des opérations menées par l'armée loyale dans plusieurs villages d'Irambi-Katana à Kabare et Kasheke.

Lors de la plénière de ce lundi 1er novembre 2021, le premier vice-président de l'assemblée nationale, Jean-Marc Kabund qui préside la séance, n'est pas allé par le dos de la cuillère pour fustiger l'attitude des députés nationaux de l'Ituri et du Nord-Kivu qui s'opposent à la prolongation de l'état de siège. Pour Jean-Marc Kabund, il est admissible que les Congolais soient tués sans que l'État ne fasse quelque chose. C'est ainsi qu'il appelle ses collègues députés à faire des propositions plutôt que de protester.