En marge de la célébration de la journée internationale de la femme, le haut commissariat des nations unies pour les réfugiés (UNHCR), a organisé lundi 09 mars 2020 à Kananga au Kasaï-Central, une conférence-débat centrée sur les droits reconnus à la femme et les coutumes avilissantes. A cette conférence, les hommes et femmes ont pris part pour parler de la femme.
Aimerance Songa du centre de formation professionnel BA MAMU TABULUKAYI, a au cours de son exposé basé sur les droits reconnus à la femme, souligné que cette dernière a droit notamment à la santé à l'éducation, à la participation politique, l'absence de violence sexuelle. Elle a rappelé que les femmes doivent bénéficier du plein exercice de tous leurs droits humains dans l'égalité et d'être à l'abri de toutes les formes de discrimination.
De son côté, Jean René Tshimanga, président de la société civile qui a parlé de "coutumes avilissantes", a souligné que la société civile a le rôle, d'organiser des campagnes de sensibilisation sur la lutte contre ces coutumes qui rabaissent la femme. Il a pour terminer, encouragé la population à dénoncer les dites coutumes.
Alain Saveur Makoba, à Kananga