Dans un communiqué de presse publié le 19 mars 2023, le parti politique Cercle des Réformateurs Intègres du Congo (CRIC), a haussé le ton contre une campagne de diabolisation visant à stopper l'élan de cette jeune formation politique.
Selon William Ikolo, secrétaire général adjoint en charge de la communication, les auteurs de cette campagne espèrent décourager la présidente nationale du CRIC, Stéphanie Mbombo, qui s'est engagée à bousculer les mentalités rétrogrades encrées dans la société congolaise.
« CRIC s'insurge énergiquement contre cette campagne de diabolisation qui vise à stopper l'élan de ce jeune parti, révélation politique en RDC. Une formation politique innovante, dans laquelle la jeunesse congolaise se reconnaît entièrement. Les animateurs de cette campagne honteuse espèrent ainsi décourager sa présidente nationale engagée à bousculer les mentalités rétrogrades encrées dans la société congolaise », a écrit William Ikolo.
Outre la campagne de diabolisation, cette formation politique dénonce l'acharnement doublé de lynchage médiatique contre sa présidente.
« Cet acharnement doublé de lynchage médiatique et de fausses accusations à l’égard de Mme Stéphanie MBOMBO, dénote d'une machination ourdie par les nostalgiques de la culture de la relégation de la femme au rôle de seconde zone. Incapables de comprendre le combat pour la méritocratie voulu par le chef de l’Etat », a-t-il dénoncé.
De ce fait, le CRIC lance un dernier avertissement à tous ceux qui seraient de près ou de loin, impliqués dans cette campagne de diabolisation.
Par ailleurs, en cas de récidivisme, le CRIC pourra saisir les instances judiciaires pour préserver son honneur et celui de sa présidente nationale.
Roberto Tshahe