C’est une première sur le marché du disque. Le nouvel album «Je suis» de l’artiste musicien congolais Manda Chante sera vendu en support USB, communément appelé flash disk. En d’autres termes, ce nouveau playing ne peut être utilisable qu’exclusivement sur les appareils dotés de lecteurs CD ou DVD notamment, chaine musicale et poste radio pouvant recevoir des clés USB et non sur les ordinateurs.
Culture
mar 30/08/2016 - 09:18
mar 30/08/2016 - 09:17
Toute la communauté congolaise de France en parle. C’est le retour aux vieux amours ! Le frère Tutu Kaludji vient de retourner à la musique populaire qu’il avait abandonnée en 2013, pour servir son Dieu. Sa première séance de répétition dans un cabaret dans la banlieue parisienne renseigne que le géniteur de la danse «Ndombolo » est très déterminé à retrouver sa place de meilleur animateur.
lun 29/08/2016 - 11:31
« A la fin des années 70, Papa Wemba passait presque chaque samedi à la télé. A chaque fois, la semaine suivante, tous les jeunes de Kinshasa allaient en ville pour chercher les mêmes vêtements que ceux qu’il portait ! Il était un modèle pour eux. » A l’époque, Innocent avait une dizaine d’années, et le mouvement de la Société des ambianceurs et des personnes élégantes, la fameuse Sape, était presque aussi vieux que lui.
ven 26/08/2016 - 15:18
Présente au Fashion Party au F-House, Djany, artiste vivant en France originaire la République démocratique du Congo a accordé une interview à eventsrdc.com sur sa carrière musicale.
Après un succès récolté avec sa chanson « j’ai déconné », totalisant 5 millions de vues jusque-là sur Youtube, Djany garde les deux pieds sur terre et compte lancer, au mois de septembre prochain, un single tout en promettant de revenir à Kinshasa pour le tournage de son clip vidéo.
Parlez-nous brièvement de votre parcours ?
ven 26/08/2016 - 15:16
Le ballet Salongo Bonganga a livré, dimanche dernier en soirée, un spectacle chants et danses, avec à l’affiche plus d’un spectacle, dont celui des pêcheurs ou (en langue kinunu : ’’ bantsoli bantsu’’. C’était en la salle Maman Moluka Pour la Paix, au croisement des avenues Kapela et Kimwenza, à Yolo sud. Le ballet a repris des répétitions : mercredi et vendredi, sous la direction du président de la Fondation Maître Taureau, FMT-Diaspora, le pétrolier Fauguy Taureau, en séjour à Kinshasa.
ven 26/08/2016 - 11:17
Les vendeurs des œuvres d’art regroupés au sein de l’Association des artistes et artisans du Congo (ASC) installés sur la place royale dans la commune de la Gombe se plaignent de l’endroit où ils exposent leurs œuvres. Ils estiment que celui-ci n’est pas approprié et préfèrent qu’il leur soit accordé un autre endroit où ils peuvent exposer leurs produits pour les vendre facilement. C’est ce qu’a déclaré Ferdinand Ngufulu, président de cette association.
ven 12/08/2016 - 01:59
Le père du ‘’folblues’’ sera en production ce dimanche 14 août, à la Place commerciale à la 7ème rue Limete. Jacques Tshimankinda, après avoir fait le rap et le Rnb, a su forger lui-même son propre style musical, qui est une symbiose entre le blues américain et les rythmiques ou folklore kasaïens, pour engendrer le « folblues ».
ven 12/08/2016 - 01:56
C’est à travers le théâtre que le Festival Vert (Festivert), tient à sensibiliser la population congolaise, sur les notions et l’importance de la biodiversité. Coordonné par Lele Michoux BOSSAY, ce festival a pour but d’impliquer la population,particulièrement les jeunes, sur les respects de la nature et la sauvegarde de l
mar 02/08/2016 - 06:21
Les rideaux de la salle des spectacles du Palais du peuple se sont ouverts le jeudi 28 juillet dernier. A l’affiche de cette soirée, la présentation, en première, de la pièce ’’Et pourtant, elle tourne’’, œuvre du dramaturge congolais Henri Mova Sakanyi. Au rendez-vous dans une salle comble, les spectateurs ont été emballés par les talents des artistes et le message véhiculé par l’auteur.
lun 01/08/2016 - 17:23
Intégrer la troupe de danseuses de Koffi Olomidé a longtemps fait rêver les jeunes filles des quartiers populaires de Kinshasa. Et cela relevait du privilège que d’être choisie par le « patron ». Qu’importe si une taquinerie en vogue dans cette mégapole de plus de dix millions d’habitants voulait qu’une dame vêtue de façon sexy soit « habillée comme une danseuse de Koffi ».