Culture

La République démocratique du Congo (RDC), passe comme on le sait, pour un pays aux multiples ressources, aux nombre desquelles, la culture, vue sous un angle global, dont la musique de quelque nature qu’elle soit, mérite, aussi tout de même, d’être prise en compte.

L’histoire artistique de la RDC pourrait-elle être modifiée ? La réponse est oui, s’il faut mettre en exergue les propos de l’artiste Designer, Rek Kandol. Il a, sans tergiverser, fustigé la politique du Gouvernement en ce qui concerne la réhabilitation de la place des artistes située au centre de la commune de Kalamu. Pourquoi les chinois doivent-ils prendre tous les marchés alors qu’il y a des congolais compétents ? Pourquoi octroyer des marchés sans le respect des normes ? Où sont passés les principes d’appel d’offres nationaux ?

Apres quelques récitals à Matadi dans la province de Kongo Central, l’artiste- musicien Jean-Marie Kalala Midjibu alias Jean-Goubald va retrouver son public de Kinshasa. Ce sera au cours d’un concert spécial vendredi 20 novembre, à 18 heures  à l’Hôtel de la Gombe. Avec sa guitare en bandoulière, Jean Goubald  s’investit à «réinventer» en silence la musique congolaise. Son style se fonde sur sa voix chaleureuse, limpide, d’une technique inégalable, la pureté de sa guitare et ses textes qui conjuguent rimes et rires. C’est un artiste à thème.

A Kinshasa, la sapologie est, avant tout, une religion pour les jeunes adeptes qui se conforment aux exigences de la haute couture à tout prix et dans le temps. Au-delà de leurs activités journalières, ils ont du goût pour des fringues étiquetées par de grands couturiers mondialement connus.

Depuis une décennie, la Capitale rd-congolaise accueille de plus en plus de spectacles de danse contemporaine venant d’ailleurs, plus précisément d’Europe. Les danseurs rd-congolais ne sont pas restés en marge. Ils ont emboité les pas. C’est presque chaque mois que les centres et espaces culturels les programment. Le 25 novembre 2015, la salle du Zoo accueillera le Centre de Création et de Recherches d’Arts Vivants sur Scène (CCRAVS) qui va présenter le projet de danse « Bosolo, knowledge ».

Artiste à plusieurs casquettes à savoir chorégraphe, danseur, vidéaste, peintre, écrivain, en plus d’une ceinture noire en karaté, Petna Ndaliko est sans tambour ni trompette présent dans plusieurs rencontres culturelles à travers le monde. La preuve,  il  a été choisi  comme coordonnateur général du Festival du film européen qui se déroule du  30 octobre au 6 novembre à Kinshasa.

Il sera ouvert ce samedi 7 novembre 2015, la nouvelle boutique de la Diva Africaine, Barbara Kanam, a indiqué Serge Mazowa, administrateur au label Kanam Music, à Kinshasa. Une variété de produits et articles cosmétiques, alimentaires, vestimentaires est en vente à la Boutique Kanam Luxury. Congolais.  Les CD et DVD de la chanteuse congolaise seront également mis à la disposition de mélomanes et fanatiques de la bonne musique.

Pour enterrer les « contrevérités » habituellement diffusées sur la RDC et sur son Président, un panel d’intellectuels, sous la férule du ministre Mende, vient de publier "Kabila et le réveil du géant".

L’Institut français de Kinshasa (IF), Halle de la Gombe, va abriter, le 5 novembre à 19heures, la grande première projection publique de la réalisation présentée comme le premier long métrage 100% congolais tourné à Kinshasa. Dans les détours de la conférence de presse tenue dans la salle polyvalente de l’IF le 2 novembre en fin de matinée, les cinéastes Patrick Ken Kalala, Jimmy Tissanabo et Didace Kawang ont présenté de façon sommaire Cocaïne Light. Le second a d’entrée de jeu souligné : « Patrick Kuba est l’initiateur et porteur du projet ». Du reste,

Le Festival du film européen a ouvert ses portes le vendredi 30 octobre dernier dans la soirée à la Halle de la Gombe. Lançant solennellement cette activité culturelle à Kinshasa, le numéro un de la Délégation de l’Union européenne en République démocratique du Congo, M. Jean-Michel Dumond, a indiqué que les films de ce festival vont être diffusés aussi bien à Matadi qu’à Bukavu, Kisangani et Lubumbashi.