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Par méconnaissance, mais aussi par empressement à acquérir un terrain, de nombreuses personnes se font avoir par des arnaqueurs, dont l’habileté consiste à vendre un terrain qui n’existe pas, ou s’il l’est, à le vendre à plusieurs intéressés. Médecins, juges, enseignants, hommes d’affaires, aucune catégorie sociale n’échappe, semble-t-il, aux griffes des arnaqueurs en ce qui concerne la vente et l’achat de terrains. Pourtant, un minimum de vigilance et de recul est requis pour éviter le pire.

Goma : Un journaliste amputé d’une jambe (GOMA)- Philémon Gira, journaliste à la télévision publique, chaîne provinciale de Goma a été amputé d’une jambe à la suite d’une attaque armée dont il a été victime quelques jours auparavant. L’organisation de défense des droits des journalistes-Journaliste en danger a exprimé sa compassion et demandé ‘‘aux autorités congolaises, et à toutes les personnes de bonne volonté de pouvoir apporter leur appui moral ou matériel à ce professionnel des médias désormais placé dans l’incapacité de pouvoir exercer sa profession, ainsi qu’à sa famille’’.

Burkina : Le directeur de la prison centrale de Kinshasa limogé (KINSHASA)- Le directeur de la prison centrale de Kinshasa, le colonel Kabisa a été limogé mercredi et remplacé directement par un magistrat civil du parquet. Le chef du plus grand centre pénitencier du pays paye les frais de sa mauvaise gestion des détenus à la suite des événements politiques survenus au Burkina Faso. La direction de la prison avait décidé de confisquer les postes téléviseurs dans toutes les cellules afin d’empêcher aux détenus de suivre ces événements au risque de les voir se soulever.

La Tempête des Tropiques souligne que dans un exposé magistral sur fond de projection filmée, l’éminent épidémiologiste et virologue de réputation mondiale a tenu plus de 300 personnes en haleine en expliquant l’expérience congolaise de la maitrise de cette maladie.

Multiplicité de groupes armés, inefficacité de l’armée congolaise, impuissance des Nations unies et silence de Kinshasa… Les tueries à répétition de Beni rappellent aux Congolais que le pays ne s’est pas encore débarrassé de ses vieux démons. L’émotion et la colère sont toujours vives à Beni, une ville du Nord-Est de la République démocratique du Congo (RDC). Entre le 2 octobre et le 2 novembre 2014, une vague de massacres à répétition a coûté la vie à 120 civils, tués par des assaillants, essentiellement à la machette.

Dans une déclaration lue devant la presse, hier lundi 3 novembre au siège de l’Ong OSISA sis avenue Révolution dans la commune de la Gombe, la Société civile a exprimé ses inquiétudes face au flou qui entoure le projet de construction d’un barrage hydroélectrique dit Inga 3. Elle rappelle, à cet effet, que sa présente prise de position relève de l’évaluation et de l’analyse de l’évolution du processus dudit projet, notamment de l’opacité dont font montre les parties contractantes.

Le suspense de la croix se poursuit pour le ministre délégué auprès du premier ministre en charge des finances Patrice kitebi. Pendant qu’il se frottait déjà les mains suite au désistement de 10 députés sur 58 de l’opposition parlementaire qui avaient signé la motion contre lui, portant ainsi à 48 le nombre des signatures, alors que la loi exige 50 au minimum pour qu’une motion soit recevable, le ministre Kitebi sera de nouveau face à son destin à la plénière de ce mercredi 5 novembre à l’Assemblée nationale. Le patron des finances aura l’occasion de justifier le décaissement des fo

Chute de B. Compaoré, l’opposant J-C Vuemba lance « l’opération stop Kabila » Comme il fallait s’y attendre, les répliques du très puissant séisme politique burkinabé, de magnitude 9 sur l’échelle de Richter (presque le top c’est-à-dire un tremblement dévastateur : dommages à plus de 1000 km à la ronde), se font sentir naturellement en RD-Congo en proie à une querelle sur l’opportunité d’une révision constitutionnelle dont l’objectif inavoué est d’empêcher l’alternance. Après Vital Kamerhe sur les ondes de TV5 Monde qui a appelé Kabila a tiré toutes les leçons de la chute de Blaise Compaoré.

Burkina : Blaise Compaoré annonce la dissolution du gouvernement et décrète l'état de siège Burkina(68) 30/10/2014  Par Jeune Afrique Blaise Compaoré à Ouagadougou, le 23 janvier 2013. © AFP En prenant d'assaut l'Assemblée nationale, jeudi matin, à Ouagadougou, les manifestants ont eu raison du vote du projet de loi sur la modification de la Constitution burkinabè, qui doit permettre à Blaise Compaoré de se présenter à la présidentielle de 2015. Depuis la situation a dégénéré.