4 personnes sont mortes dont 3 étudiants et un policier dimanche 27 janvier dernier dans les heurts qui ont opposé les étudiants à la police.
À cet effet, le président de la République Démocratique du Congo Félix Tshisekedi a ordonné que l'officier incriminé soit déféré devant la justice militaire afin de subir la rigueur de la loi mais aussi que le ministre de l'Enseignement Supérieur et Universitaire, "ESU", soit entendu.
Des mesures qui n'ont pas laissé indifférent Olivier Kamitatu, directeur de cabinet du président de Ensemble pour le Changement, Moïse Katumbi.
"Art.
Politique
Selon un communiqué signé par Vital Kamerhe, directeur de cabinet du chef de l'État ce lundi 28 janvier 2019, suite à la mort des 4 personnes dont 3 étudiants et un policier consécutive aux heurts qui ont eu lieu dimanche dernier à l'Universite de Lubumbashi, le ministre de l'Enseignement Supérieur et Universitaire, "ESU", est appelé à se justifier.
La réaction de Steve Mbikayi ne s'est pas faite attendre.
Charles Michel, premier ministre de la Belgique a souhaité plein succès au nouveau président de la République Démocratique du Congo, Félix Tshisekedi, samedi 26 janvier 2019 au nom de son gouvernement.
Le patron du gouvernement belge a cependant invité le chef de l'État à considérer la volonté du changement exprimée par le peuple congolais.
"Les dernières semaines ont démontré la volonté de changement, de transparence et de démocratie de la population congolaise, que nul ne peut ignorer.
4 morts dont 3 étudiants et un policier ainsi que quelques blessés, c'est le bilan de heurts survenus dimanche 27 janvier 2019 entre étudiants et policiers à l'Université de Lubumbashi dans le Haut-Katanga.
Selon nos sources, les étudiants protestaient contre la majoration des frais académiques, le manque d'eau et de l'électricité.
Le grand chef coutumier Kamuina Nsapu, Kabeya Ntumba de son vrai nom, vivant au Kasaï Central a salué dimanche 27 janvier 2019, l'élection de Félix Tshisekedi comme président de la République Démocratique du Congo.
"Nous considérons les élections comme un tournant dans la vie politique de la RDC. C’est la première fois dans l’histoire du pays que le transfert pacifique du pouvoir résulte de la volonté populaire.
L'initiateur du mouvement citoyen Les Congolais Debout, "LCD", a pointé du doigt ce dimanche 27 janvier 2019, le fait que l'ancien président de la République Démocratique du Congo cherche à verrouiller le pouvoir.
Selon Sindika Dokolo, bien que Joseph Kabila ait cédé le fauteuil présidentiel à Félix Tshisekedi, il ne veut cependant pas laisser le pouvoir.
"Bien qu'ayant laissé la présidence, Joseph Kabila ne veut pas abandonner le pouvoir. En instrumentalisant sa majorité FCC, Il va tenter de neutraliser les pouvoirs du président par ceux du 1er Ministre.
Lors de la session extraordinaire tenue du 25 au 26 janvier 2019 à Kananga, chef-lieu de la province du Kasaï Central, les évêques catholiques et autres membres de l’Assemblée épiscopale provinciale de Kananga se sont réjouis de l'élection de Félix Tshisekedi comme 5e président de la République Démocratique du Congo.
Ces évêques ont déclaré que "l'élévation de Félix Tshisekedi à la magistrature suprême est aussi le couronnement du long combat politique de Monsieur Etienne Tshisekedi, un de ces grands hommes politiques congolais dont le patriotisme marquera l’histoire de notre pays ».
"son av
Minata Samate Sesuma, Commissaire aux Affaires politiques de l'Union Africaine, "UA", a été reçue en audience par le président de la République Démocratique du Congo, Félix Tshisekedi, vendredi 25 janvier 2019 au palais de la Nation.
Porteuse d'un message du président de la Commission de l'UA, Moussa Faki, M.
La coalition électorale Lamuka projette un meeting le samedi 2 février à la place dite Sainte-Thérèse à N'Djili, d'après un communiqué daté du 26 janvier 2019 signé par Pierre Lumbi Okongo.
Lamuka continue à revendiquer la vérité des urnes. Mais certains de ses cadres, proches de Moïse Katumbi, ont tourné la page de la contestation de la victoire électorale à la présidentielle de Félix Tshisekedi.
La rareté des produits pétroliers notamment l'essence et le mazout dans les villes de Beni et Butembo, paralyse les activités économiques, particulièrement les transports en commun.
Le prix est resté instable ce samedi 26 janvier 2019 dans plusieurs stations-services.
Certains pompistes vendaient un litre d'essence à 2500 Franc Congolais tandis que d'autres le faisaient à 3000 FC.
Alors qu'il coûtait la semaine dernière 1700 FC.
Les conséquences de plus de 70% de cette hausse du carburant ont été immédiatement ressenties par la population.
Le prix d'une course en taxi-moto a doublé, de 500