Politique

Après le récent rapport publié par l'ONG Déclaration de Berne («DdB») et la couverture médiatique qui a suivi, Philia tient à préciser sa position à l'égard des accusations sans fondement qui ont été formulées à son encontre: Contrairement aux allégations du rapport DdB, Philia s’est vu attribuer un contrat d’enlèvement de résidu atmosphérique (RAT) après un appel d'offres international en bonne et due forme pour une cargaison spot et ce sur la base du meilleur prix et de conditions contractuelles standards. Après l'exécution satisfaisante de cette première transaction spot par Philia, la C
* A n’en point douter, dans les prochains jours, le paysage politique congolais connaîtra, sinon un tsunami, du moins une recomposition comme en 2006. Les alliances se font et défont. C’est ce qui se passe généralement à l’approche de nouveaux enjeux politiques. Ce sera sans doute le cas lors des élections prévues en 2015 et 2016, surtout la présidentielle. Car, dans certains milieux de la Majorité présidentielle et alliés, l’heure est désormais aux stratégies à mettre en place au cas où Joseph Kabila ne serait plus dans la course.
Une délégation de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) venue de Kinshasa mène depuis lundi 9 mars une campagne de sensibilisation sur la loi et le calendrier électoraux à Goma, dans le Nord-Kivu. Les membres du gouvernement provincial, les députés, les responsables des partis politiques ainsi que des membres d’ONG ont pris part à la séance de lancement officiel de cette sensibilisation.
On en sait un peu plus désormais sur la rencontre à huis clos entre le Président de la République et le gouverneur de la province du Katanga. Si rien n’a filtré de cette réunion de plus d’une heure, la Journée internationale de la femme aura levé un pan du voile. Samedi 7 mars dernier au Katanga, Moïse Katumbi, devant une foule nombreuse, a annoné à ses administrés son départ de la tête de la province comme gouverneur. La foule ébahie suivait religieusement son gouverneur.
Plus de trois mois déjà se sont écoulés depuis que le chef de l’Etat, Joseph Kabila, a mis en place le gouvernement dit de cohésion nationale. Ce gouvernement, qui a vu le Premier ministre Augustin Matata Ponyo être reconduit, n’a pas toujours livré son grand secret. Et pendant que les missions cardinales qui ont été confiées à ce nouvel exécutif ne sont pas encore exécutées à la lettre, l’on évoque déjà «Matata III». Formé le 7 décembre 2014, le gouvernement dit de cohésion nationale chancelle encore.
(KINSHASA)- Quelques ténors de la Majorité présidentielle parmi lesquels, Charles Mwando Nsimba, Olivier Kamitatu et Pierre Lumbi ont adressé une lettre au chef de l’état et autorité morale de leur famille politique lui demandant de se prononcer sur son avenir politique. Les auteurs de cette correspondance veulent savoir comment le président Kabila envisage sa succession à la magistrature suprême. Constitutionnellement, le chef de l’état actuel ne peut plus se représenter au bout de ses deux mandats.
Pressentis mais non déclarés comme candidats à la magistrature suprême, des compatriotes qui ont peut-être la chance et pourquoi pas le tort de damner le pion à d’autres par leur présence fort remarquable sur le microcosme politique de l’heure s’attirent des flèches empoisonnées provenant curieusement de leur propre regroupement politique.
Selon l’article 2 de la Constitution adoptée par référendum en 2005 et promulguée le 18 février 2006 par ordonnance présidentielle, « la République Démocratique du Congo est composée de la ville de Kinshasa et de 25 provinces dotées de la personnalité juridique. Ces provinces sont : 1.Bas-Uele, 2. Equateur, 3. Haut-Lomani, 4. Haut-Katanga, 5. Haut-Uele, 6. Ituri, 7. Kasai, 8. Kasaï Oriental, 9. Kongo Central, 10. Kwango, 11.Kwilu, 12. Lomami, 13. Lualaba, 14. Kasaï Central, 15. Mai-Ndombe, 16. Maniema, 17. Mongala, 18. Nord-Kivu, 19. Nord-Ubangi, 20. Sankuru, 21. Sud-Kivu, 22. Sud-Ubangi, 23.
C’est sous une pluie battante que le président des FONUS (Forces Novatrices pour l’Union et la Solidarité), Joseph Olenghankoy s’est pointé le vendredi 06 mars 2015 à 15 heures au cabinet du Procureur Général de la République, sis au 2ème niveau du building INSS, dans la commune de la Gombe. Cet enfant terrible de la défunte «Union Sacrée de l’Opposition» des années Mobutu, y est allé confirmer les charges portées contre le président de la République dans sa plainte du 12 février 2015. Soumis à un long interrogatoire de près de 5 heures, Olenghankoy, indique-t-on, a réitéré les accusati

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