Politique

Faut pas chercher la sénatrice Eve Bazaïba Masudi ! Derrière cette belle femme se cache une redoutable femme politique qui a roulé sa bosse dans le sillage du sphinx de Limete (Etienne Tshisekedi). Elle a fourbi aussi ses armes à la société civile. Elle sait donc mordre. Qui s’y frotte si pique donc. Et ses pics ont été destinés à Thomas Luhaka Losendjola tout nouveau vice-premier et ministre en charge des Postes et NTIC. Pour faire simple Bazaiba a qualifié Luhaka de pas sérieux et de menteur mais en employant ses termes à elle.
Que se sont dits Joseph Kabila, Didier Reynders et Alexander De Croo le mercredi 25 février dernier à la Présidence de la République ? Ce tête-à-tête, que la presse belge n’a pas été autorisée à couvrir, a laissé planer le mystère.
Duferco était réellement intéressé par l’aciérie de Maluku. Quand ses représentants sont venus à Kinshasa, c’était pour étudier sérieusement le dossier. Serge Kubla était accompagné de deux hommes, dont un certain Stéphane, qui avait une certaine aisance financière", explique un ministre congolais. Une "aisance" qui n’est pas passée inaperçue dans un les milieux affairistes congolais, capables de renifler la bonne affaire. Du coup, au fil des rencontres, certains contacts "privilégiés" se sont noués.
(KINSHASA)- Le gouvernement chinois s’est dit disposer d’apporter son soutien logistique pour permettre la bonne tenue des prochaines élections. Le nouvel ambassadeur de chine, Wang Tongqing a rappelé que son pays respectait la souveraineté de chaque pays. ‘‘Nous attendons que la Ceni nous fasse la demande sur ses besoins parce que nous n’avons pas encore reçu des appels et nous allons agir. Nous respectons la recherche d’une voie de développement adaptées aux réalités nationales’’, a-t-il assuré.
(KINSHASA)- Des ténors de l’opposition congolaise ont pris leur avion jeudi pour Washington. Ils répondent à l’invitation de l’Ong d’Herman Cohen, l’ancien patron de l’Afrique sous l’administration Clinton. Les congolais vont échanger avec les autorités américaines sur les questions de la démocratie, des élections et des droits de l’homme. A Washington, Vuemba, Franck Diongo, Vital Kamerhe, Samy Badibanga, Fidel Babala et les autres auront des entretiens au département d’état et dans d’autres structures importantes de l’exécutif Obama.
(KINSHASA)- Etienne Tshisekedi et son parti proposent la création d’un organisme chargé de la certification des résultats des élections. Il convient de créer un organisme chargé de certifier le processus électoral, indique Etienne Tshisekedi. Selon lui, l’organisme doit être composé de la Monusco, de représentants de la société civile notamment de l’Eglise catholique, de l’Aeta et d’autres Ongs actives en matière d’élections.
(KINSHASA)- De Bruxelles où il se trouve, Etienne Tshisekedi a fait publier à Kinshasa un document où il dévoile son plan pour la tenue du dialogue et les points à inscrire à l’ordre du jour. Deux hauts cadres du parti parmi les plus proches ont présenté le texte à la presse jeudi à Kinshasa. Bruno Mavungu, le très contesté secrétaire général et Félix Tshisekedi, le secrétaire national chargé des relations extérieures ont parlé de l’origine de la crise énumérant les différentes péripéties depuis le dialogue inter congolais, les élections 2006 et 2011 jusqu’aujourd’hui.
Deux semaines après la publication du calendrier électoral global, les opinions sont partagées au sein de la classe politique en particulier et de la population en général.
Kinshasa, le 25 février 2015 Monsieur le Ministre, Grâce à l’aimable traduction faite par le journaliste Maroun Labaki, j’ai pris connaissance, comme d’autres compatriotes, de la volée de bois vert que vous avez cru devoir infliger aux autorités de la RDC auxquelles vous avez reproché « des mesures liberticides », vous insurgeant particulièrement contre des arrestations arbitraires, l'instrumentalisation de la justice ainsi que le blocage d'Internet et des réseaux sociaux par lesdites autorités.
Le bourgmestre de Waterloo va-t-il rester en prison? A quelle sanction s’expose l’auteur d’un acte de corruption? La loi est d’autant plus précise qu’elle a évolué après quelques affaires retentissantes qui ont impliqué le monde politique belge dans les années '90. C’est aujourd’hui l’article 246 du code pénal qui détermine les sanctions appliquées aux personnes reconnues coupables de corruption. Une législation qui a été modifiée en 1999, après plusieurs affaires qui ont défrayé la chronique judiciaire et politique, avec notamment le dossier Inusop, et les contrats Agusta et Dassault.

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