Sécurité

  Le Directeur du SECOPE, Service de Contrôle de la Paie des Enseignants, du Maï-Ndombe, Joseph Mboyo Boole, s'est dit ce lundi 25 février 2020, déterminé à combattre les anti-valeurs sous toutes ses formes dans son service. Lesquelles anti-valeurs rongent selon lui, le SECOPE dans cette partie du pays. Cet engagement a été renouvelé mardi lors de sa présentation aux agents et cadres du système éducatif en province.

Les Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) ont récupéré le quartier général des miliciens Maï-Maï de She Assani situé dans la commune rurale de Salamabila dans la province du Maniema. Ceci après deux jours de combat, depuis le début des offensives le dimanche 23 février 2020. La nouvelle a été confirmée à 7SUR7.CD ce mardi 25 février 2020, par le capitaine Dieudonné Kasereka, porte-parole du secteur opérationnel Sukolo 2 sud Sud-Kivu.

  Les conflits qui opposaient les communautés du territoire de Muanda aux entreprises pétrolières ont été résolus. Ceci après une rencontre d'échange ce dimanche 23 février 2020 entre le Gouverneur du Kongo Central Atou Matubuana et toutes les parties en conflit. Le numéro 1 du Kongo Centra a appelé la population du territoire de Moanda à privilégier le dialogue pour trouver la solution à tout différend.

Dans une interview accordée à 7SUR7.CD ce dimanche 23 février 2020, le porte-parole adjoint de l'armée le général de brigade Sylvain Ekenge a fait savoir qu'un groupe de terroriste armés a tenté de perpétrer un massacre des civils à Kikingi, une agglomération située à la chefferie de Watalinga dans le territoire de Beni précisément au village de Lubano, mais sans succès. "Nous avons neutralisé 5 egorgeurs, et un a été capturé. Il va nous aider sur l'identité de ces egorgeurs car il est suivi par nos services spécialisés", a-t-il indiqué.

8 éléments Maï-Maï Mutomboki ont été arrêtés le mercredi 19 février 2020 à Kalehe au Sud-Kivu par les Forces Armées de la République Démocratique du Congo, (FARDC). Selon la société civile locale, ces éléments rebelles sont des présumés auteurs de vol et pillages des biens de la population. "Ces éléments rebelles ont été capturés à Kashesha dans le village de Chifunzi. Ils sont maintenant arrêtés et détenus au camp militaire à Kalonge", a expliqué à 7SUR7.CD, Delphin Birimbi, président du cadre de concertation territoriale de la société civile de Kalehe. 

Deux colonels autoproclamés Maï-Maï du groupe Kirikicho se sont rendus aux Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) avec deux autres éléments, samedi 22 et dimanche 23 février 2020 à Kalehe (Sud-Kivu). Ils ont remis deux armes et 3 chargeurs. La nouvelle a été confirmée à 7SUR7.CD par Delphin Birimbi, président du cadre de concertation territoriale de la société civile de Kalehe.

Plusieurs jeunes congolais regroupés au sein du collectif Allez-y les FARDC, ont pris part samedi 22 février 2020 à Kinshasa, à une marche pacifique de soutien aux forces loyalistes engagées dans les opérations de traque des forces négatives dans l'Est de la RDC. Cette marche est partie de l'échangeur de Limete pour chuter à l'espace Triomphal près du stade des martyrs où une déclaration a été lue devant la presse.

  Le collectif Allez-y les FARDC, a marché ce samedi 22 février 2020 à Kananga au Kasaï-Central pour soutenir les forces loyalistes dans la traque des groupes rebelles dans l'Est du pays. Les participants à cette marche qui a commencé à la paroisse Notre Dame dans la commune de Katoka pour chuter à la place de l'indépendance dans la commune de Kananga étaient munis des écriteaux avec inscription : "Allez-y les FARDC jusqu'au bout. Nous vous soutenons jusqu'au bout".

  Des hommes armés inconnus ont tendu une embuscade jeudi 20 février 2020 vers 16h30 heure locale, à un convoi militaire qui quittait la ville de Goma pour Rumangabo au Nord-Kivu. Il s'agit de soldats congolais du 34016e régiment dont le véhicule a été attaqué près de Rugari.

  Dans une correspondance adressée au vice-premier ministre, ministre de l'intérieur et sécurité, onze députés provinciaux du Kasaï-Central, déclarent être vicitimes des "menaces d'attentat et d'insécurité" de la part du gouverneur Martin Kabuya. "Nous députés provinciaux du Kasaï-Central venons par la présente, dénoncer les faits de menaces d'attentat, d'imputation dommageables, d'injures publiques d'abus de pouvoir et d'insécurité à charge de Monsieur Martin Kabuya", peut-on lire dans cette correspondance.