Société

De nombreux défis attendent le nouveau comité de gestion de la Société congolaise de postes et télécommunications (SCPT) que pilote, depuis quatre jours, Didier Musete. Jean Makayanga, le vice-président du syndicat Solidarité, l’un des syndicats représentatifs de la SCPT, a recommandé, le week-end dernier, au comité Musete de s’atteler d’abord sur le dossier des arriérés de salaire, estimés à plus de 80 mois.

Le source digne de foi, il nous revient que le ministère des Médias et la Vice-Primature des PTNTIC auraient décidé de surseoir aux activités de Satcon en République Démocratique du Congo au regard de certains démêlés judiciaires qui pèsent déjà sur elle, après que la commission de réglementation se soit penchée sur le cas de cette société qui était au stade d’installation de ses équipements. A en croire nos sources, il est reproché à cette société de télédistribution montée par des investisseurs phéniciens et gabonais certaines erreurs.

La Société nationale d’assurances (SONAS S.A.) n’a pas dérogé à ses principes en procédant au mois de mars 2015 comme d’habitude à l’indemnisation des sinistres dans les branches d’assurances automobile, vie et incendie. Au courant de ce troisième mois de l’année en cours, 608 dossiers ont été payés. L’Agence de cette société située à la 7ème Rue de la commune de Limete au niveau de la Place commerciale à Kinshasa a servi de cadre aux quatre opérations » jeudi sinistre » intervenues pour le compte du mois finissant.

Le Phare s’était fait l’écho, dans l’une de ses éditions antérieures, des campagnes de recrutement des jeunes, à travers des villages du Nord-Kivu et du Sud-Kivu, par des éléments ADF, FDLR et ex-M23 déguisés en chefs religieux musulmans. Il leur était promis bourses d’études et emplois en pays étrangers, notamment ceux du Nord- de l’Afrique et du Moyen-Orient. Et de ce fait, il était constaté la disparition de jeunes qui partaient pour le massif du Graben, au Nord de Beni, pour ne plus jamais revenir dans leurs familles ni faire signe de vie.

Le Courant des Démocrates Rénovateurs (CDER) a procédé le samedi 28 mars 2015 dans la commune de la Gombe, à la sortie officielle de sa ligue des femmes. Les femmes du parti de Jean-Lucien Bussa venues de quatre coins de la capitale ont bravé la pluie pour rehausser de leur présence cette cérémonie. Cette manifestation s’inscrit dans le cadre des activités de la « Journée internationale de la femme » décrétée par l’Organisation des Nations Unies (ONU), depuis plusieurs dizaines d’années.

Théologienne de formation et épouse d’un haut magistrat, Gisèle Ndaya Luseba est aujourd’hui aux commandes de la Convention des Démocrates travaillistes unifiés ou CDTU classé dans la liste actualisée des 477 partis politiques que le Vice- Premier Ministre et Ministre de l’Intérieur et Sécurité a déposée dernièrement à la CENI.

Réunies à l’Hôtel de la Gombe pour clôturer à leur manière le mois de la femme, des femmes de la chaîne de Télévision Congo Web ont évoqué le cas de Mike Mukebayi, éditeur du bihebdomadaire «C-News» arrêté et transféré depuis le mois d’août 2014 à la prison centrale de Makala pour des écrits de son journal. Une façon pour les consoeurs de cette Télévision de marquer leur désaccord à l’arrestation de Mukebayi au regard du thème (la dépénalisation des délits de presse en RD-Congo) qu’elles avaient choisi.

Avec les jeunes de l’église catholique de Kinshasa, le cardinal Monsengwo n’a pas parler politique. Le prélat a juste appelé des jeunes d’avoir un comportement digne d’un chrétien. Et appelé aussi les parents de ces jeunes à les aider à prendre conscience de leur lendemain. Ensuite, l’Archevêque de Kinshasa a lu le message du Pape François adressé à tous les jeunes du monde entier sur le désir du bonheur.

S’il était donné à tous les anciens partis dans l’au-delà de revenir à ta vie pour voir ce qu’est devenue la ville de Kinshasa, beaucoup perdraient leur latin. Non seulement la capitale s’est agrandie, mais elle abrite aujourd’hui près de dix millions d’âmes. Retrouver des habitations abandonnées après des décennies, constitue un véritable casse-tête chinois. La raison du désordre constaté actuellement est toute simple.

Amnesty International a lancé lundi 30 mars une campagne en faveur de la libération de jeunes activistes congolais détenus au secret, selon elle, depuis 15 jours à Kinshasa. Selon le chargé de campagne à Amnesty international, cette démarche permettra aux membres de son organisation et au grand public d’exprimer leur solidarité envers ces militants victimes d’une «répression continuelle à l’approche de l’élection présidentielle de l’an prochain.» Ces derniers avaient été arrêtés lors d’une conférence de presse à dans la commune de Masina sur l’engagement civique des jeunes tenue Il