Société

Le directeur de cabinet du ministère du Plan et Suivi de la révolution de la modernité a procédé, hier mardi 11 novembre à l’Hôtel Sultani, à la Gombe, à l’ouverture de l’atelier sur les résultats de l’IDR (Informing Data Revolution) pour la RD Congo.

Le responsable de la communication de l’ONG internationale » Action Damien » a indiqué, hier mardi 11 novembre, que cette association sans but lucratif (ASBL) totalise cette année, 2014, ses 50 ans d’existence depuis sa création en 1964, en Belgique. Maxime Lunga a rappelé qu’aussitôt créée, Action Damien a lancé, la même année, ses activités au Congo.

« Débout Mama Mobutu » : c’est le cri d’alarme pathétique que viennent de lancer les habitants de ce quartier, dans la commune de Mont Ngafula, pour sauver cette colline où plus de xis cent maisons sont menacées de disparition si aucune action d’envergure n’est entreprise pour sauver ce qui peut l’être.

Afin de rendre hommage aux soldats congolais de la Force publique (armée du Congo belge), qui avaient participé à la première et deuxième guerre mondiale ( 1914-1918 et 1940-1945), une cérémonie a été organisée hier 11 novembre 2014, dans la Maison des Anciens combattants à Kasa-Vubu. Ont pris part à cette manifestation, plusieurs autorités tant nationales qu’internationales dont des ambassadeurs, ministres, députés, le bourgmestre de la commune de Kasa-Vubu, etc.

Le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) en RDC attire l’attention du public sur les manœuvres frauduleuses et autres subterfuges utilisés par des personnes malintentionnées et non autrement identifiées proposant des emplois, des facilités de recrutement ou de stage ainsi que des marchés émanant prétendument du PNUD ou de ses fonctionnaires.

Massacres, crimes contre l’humanité La situation qui prévaut à Beni dans le Nord-Kivu reste inextricable malgré les procès en cours, les jugements déjà rendus et les mesures prises au niveau interne et international pour mettre fin à ces massacres et les prévenir. Selon nos fins limiers largués sur place pour faire la lumière sur ces crimes contre l’humanité, les tueurs et leurs complices sont identifiables.

Kinshasa - Une manifestation de colère a éclaté mardi matin à Mbau, dans l'est de la République démocratique du Congo, après la mort par balle d'un habitant dans des circonstances troubles qui pourraient impliquer des Casques bleus, a-t-on appris de sources concordantes. Une personne a été tuée et deux blessées grièvement lorsque la police a procédé à la dispersion des manifestants les plus récalcitrants, selon un nouveau bilan d'un responsable de la Société civile du territoire de Beni. Mais ce bilan n'a pas pu être confirmé d'autre source.

Deux personnes ont été tuées et une autre blessée au cours d’un soulèvement populaire mardi 11 novembre dans la localité de Mbau, à 25 km au nord de Beni-ville, dans le territoire de Beni (Nord-Kivu). La population manifestait contre la mort d’un motard, dont ils rendaient la Monusco responsable. En se dirigeant vers le quartier général de la mission, les manifestants se sont heurtés à des éléments de la police nationale congolaise, qui ont tiré en l’air pour les disperser. Deux personnes ont été tuées et une autre blessée.

Le diocèse catholique de Bunia dans la Province Orientale accuse les responsables de l’Institut supérieur pédagogique (ISP) de procéder unilatéralement à des travaux de bornage de terre à l’intérieur de sa concession foncière sur la colline de Mudzipela. Contacté par Radio Okapi, Lokuni Nembe, directeur général intérimaire de l’ISP, nie l’implication de son institution dans un quelconque conflit foncier avec l’église catholique. Cependant, c’est le gouvernement provincial de Kisangani qui revendique ces travaux, engagés par des techniciens de cadastre.

Le bilan de la pluie qui s’est abattue samedi 8 novembre sur le village Lualaba à 30 Km de Kolwezi au Katanga s’élève à 4 morts et plus de 400 maisons endommagées. Les autorités locales plaident pour une assistance en urgence des sinistrés. Le maire adjoint de Kolwezi a toutefois promis de prendre en charge les soins des blessés. Des sources médicales au village Lualaba déclarent avoir enregistré 4 morts et 36 cas de blessures graves. Les victimes décédées sont toutes des enfants, dont 3 appartenant à une même famille.