Société

L'Inspection Générale des Finances (IGF) a accordé une audience aux parlementaires français venus s'enquérir du processus relatif à la patrouille financière que mène l'IGF dans le but de dissuader le détournement des deniers publics en RDC depuis l'avènement de Félix Tshisekedi à la magistrature suprême. Cette délégation composée des sénateurs et députés de la République française conduite par la vice-présidente du Sénat français qu’accompagnait le ministre des hydrocarbures, a eu accès à un tableau reprenant les prouesses réalisées par l'IGF.

L’inspecteur général des finances chef des services Jules Alingete a eu une séance de travail avec la direction du Comité national de pilotage de la neuvième édition des jeux de la francophonie, conduite par son directeur Isidore Kwanja.  Au cours de cette rencontre, les deux parties ont évalué la mission d’encadrement des opérations financières confiée à l’IGF, dans le cadre de l’organisation de cet événement. 

À quelques mois des élections en République démocratique du Congo, des discours incitant à la violence ne cessent de prendre de l’ascenseur dans la communauté. Si les uns invitent à une discrimination à l’égard des candidats aux élections, d’autres appellent à la violence physique. Que dit la Constitution du pays sur la discrimination ?  Nous partons de cet exemple concret : « Si un candidat bat campagne à Tshangu et que vous ne le connaissez pas, il faut le chasser », écrit un internaute. 

Au moins 8 personnes ont trouvé la mort dans un accident de la circulation survenu dans les environs du village Kamisalu, à 35 km de la ville de Tshikapa dans le territoire de Tshikapa.  Selon les témoins du drame, il s'agit un véhicule militaire de marque Kamaz qui transportait les dépouilles mortelles d’un colonel de la police qui était assassiné chez lui dans la nuit il y a quelques jours par des bandits et d'un député provincial, qui s'est cogné contre un autre.

La question de la qualité de l'enseignement primaire, secondaire et technique s'est invitée au briefing presse du lundi 04 septembre, co-animé par le ministre de la Communication et médias, Patrick Muyaya, et son collègue du sous-secteur, Tony Mwaba.  Ce dernier a, dans son speech, déploré le fait que certains parents n'acceptent pas l'échec de leurs enfants. D'où, il s'est interrogé s'il y a des parents qui peuvent demander à leurs enfants qui ont fait 50%, de reprendre la classe. 

La rentrée scolaire 2023-2024 qui a eu lieu le 4 septembre n’a pas concerné tous les enfants congolais en âge de scolarité. 7 millions d’entre eux demeurent non scolarisés, à en croire le Fonds des Nations unies pour l'enfance (UNICEF). Les raisons de cette situation sont diverses, notamment les violences à l’Est du pays, d’après Grant Leaity, représentant de l’UNICEF en RDC.

Dans une interview accordée à 7SUR7.CD ce mardi 05 septembre 2023, maître Hubert Tshiswaka, Directeur général de l'Institut de recherche en droits humains (IRDH) pense que le carnage survenu à Goma coûtant la vie à plus de quarante congolais serait le résultat « des faux renseignements donnés aux Forces armées de la République démocratique du Congo par un réseau connecté au M23 ».

Des organisations de la société civile œuvrant au Sankuru sollicitent l'implication du chef de l'État, Félix-Antoine Tshisekedi pour la réhabilitation de la piste de l'aéroport national de Lodja, situé au cœur de cette province. Elles l'ont fait savoir dans un mémorandum adressé président de la République et dont une copie est parvenue à 7SUR7.CD, ce mardi 05 septembre 2023.

Dans une matinée de réflexion tenue le lundi 04 septembre 2023 à Lubumbashi dans le Haut-Katanga, l'Ordre supérieur épiscopal du Congo (OSEC) a mis en garde la Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO) face aux propos prononcés par monseigneur Donatien Nshole sur "l'éventualité d'un coup d'État par un leader courageux".

La partie Est de la République démocratique de Congo fait face à une insécurité qui ne dit pas son nom depuis plus de deux décennies. Cette insécurité, occasionnée par l'activisme des groupes armés locaux et étrangers, a des conséquences fâcheuses sur tous les secteurs et sous-secteurs de la vie, notamment l'Enseignement primaire, secondaire et technique (EPST).