Le procès de la honte qui oppose Vital Kamerhe au régime, a vécu, hier lundi 23 mars, à la cour suprême de justice-CSJ. VK était en chair et en os au siège de cette haute instance de justice du pays. Question pour lui
de lancer un message fort au pouvoir en place : «Il ne craint pas le régime en place avec ses idées machiavéliques surtout pas», avance un de ses proches collaborateurs.
Le siège de la CSJ en général et la salle Marcel Lihau étaient noir du monde comme lors de la première audience. Des opposants aussi ont affiché présent pour soutenir «Le pacificateur» au nom de l’unité de
l’opposition. L’affaire n’a pas été traitée sur le fond. La prochaine audience est fixée pour le lundi 30 mars
prochain. Les avocats de Kamerhe conduits par Me Joseph Mukendi ont soulevé l’exception selon laquelle leur client n’a pas été notifié à son domicile sur ce dossier. Mais Plutôt, poursuivent-ils, au domicile de son conseil. Il est important de rappeler que c’était pour la première fois après un périple passé aux USA et en Europe que Kamerhe s’est présenté en public. A ses proches, VK a dit qu’il a obtenu toutes les garanties des décideurs pour le départ de Kabila en 2016.
MTN