Meeting du 31 juillet 2016 : mise en garde de l’UDPS aux « infiltrés »

Lundi 25 juillet 2016 - 10:07
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A la veille du retour au pays d’Etienne Tshisekedi censé intervenir ce 27 juillet 2016  et du meeting des ténors du Rassemblement pour la Défense des Valeurs de la République sur l’avenue de l’Enseignement,cadres et militants de l’UDPS mettent les bouchées doubles. Ceci dans le but de contribuer à leur manière à  la réussite de ces deux
événements.
De son côté Victor Wakwenda le directeur de cabinet de Tshisekedi qui
a réceptionné officiellement le vendredi 22 juillet 2016 à la
résidence du sphinx de Limete le rapport des travaux du comité
préparatoire du second congrès de l’UDPS, est revenu sur ce double
événement.
Approché par les médias peu avant la fin de la cérémonie évoquée
ci-haut, Wakwenda Bukasa a dit d’emblée que l’UDPS est en plein
préparatif du retour de son leader. Tout est mis en œuvre pour
réserver à ce digne fils du pays un accueil triomphal.
Les différentes commissions sont à pied d’œuvre. Néanmoins,
l’organisation matérielle de cet événement relève du secrétariat
général du parti, qui est habilité également à élaborer le programme
de la journée du 27 juillet 2016.
Affirmant n’avoir pas encore du moins jusqu’à vendredi 22 juillet
matin, obtenu  la réaction de l’Hôtel de ville en ce qui concerne le
meeting de l’opposition, il a mis en garde les personnes animées de
mauvaise foi appelées « infiltrées » qui perturbent les activités du
genre de celle du 31 juillet 2016.  Ces « infiltrations » sont souvent
à l’origine des incidents malheureux, a prévenu ce cadre de l’UDPS.
Expliquant  que les combattants de l’UDPS endurent souvent un
véritable calvaire chaque fois qu’ils organisent une manifestation, il
a cette fois ci interpellé les médias pour qu’ils véhiculent le  sens
exact du concept « accueil » dans la société bantoue.  Ce mot n’est
pas synonyme de violence, a-t-il souligné.
Il a terminé sa courte intervention en revenant sur le sacrifice
consenti par le lider maximo  et qui selon lui, a en dépit des
élections chaotiques de novembre 2011 et de ses corollaires,  refusé
de s’investir dans la violence.

Jean-Pierre Nkutu