RD Congo : Le casse-tête congolais

Dimanche 25 octobre 2015 - 06:10

Image retirée.Dans son numéro 2859 en kiosque le 25 octobre 2015, Jeune Afrique s’intéresse à l’impasse observée entre le gouvernement et l'opposition de la République démocratique du Congo (RDC).

Quand le pouvoir affirme devoir décaler les nombreux scrutins à venir faute de moyens, d'autres n'y voient qu'une manœuvre pour rester en place et refusent toute main tendue. Va-t-on « glisser » ou pas ? Dialogue de sourds entre pouvoir et opposition, Constitution, incertitudes lie´es au marathon e´lectoral a` venir... L’anne´e 2016 s’annonce sous haute tension.

À lire aussi dans le Plus Jeune Afrique : Interview : Henri Mova Sakanyi, président du PPRD, le parti au pouvoir ; Économie : Bien, mais… ; Développement : Objectif tourisme.

Maroc : 40 ans après… Les secrets de la Marche verte

Le 6 novembre 1975, des milliers de Marocains franchissent la frontière du Sahara espagnol afin d’accélérer la «récupération» de la colonie par le royaume sans passer par un référendum d’autodétermination. Pour certains, l’histoire n’est pas terminée. Grand angle.

Guinée : Les leçons d'une ré(élection)

La commission électorale a donné une large victoire à Alpha Condé dès le premier tour. La partie avait été bien plus serrée il y a cinq ans. Quelles sont les régions où le président sortant est parvenu à gagner des voix ? Comment lui et son grand rival, Cellou Dalein Diallo, ont-ils laminé leurs adversaires ? Analyse.

Gabon : la Comilog dans le doute

En annonçant qu’il allait mettre entre parenthèses plusieurs de ses grands projets à cause d’une conjoncture difficile, Eramet, le groupe minier et métallurgique français, a semé le doute au Gabon.

En situation de quasi-monopole, le géant français y exploite du manganèse depuis plus de cinquante ans via sa filiale, la compagnie minière de l’Ogooué (Comilog). L’exploitation de cet important gisement polymétallique devient donc incertaine. Mais le groupe reste optimiste pour sa filière manganèse.

Nigeria : Buhari ou l’art de se presser lentement

Alors que son pays est ébranlé par la crise pétrolière, le président tarde à définir un cap. Non seulement l'ancien général n'a toujours pas nommé de gouvernement, mais il n'a pas non plus livré de véritable programme économique.

Cent cinquante jours après son investiture, Muhammadu Buhari fera-t-il émerger un État fort ? Enquête à Lagos et à Abuja.