Société

Le Gouvernement annonce la construction du Marché international de Kinshasa pour garantir un meilleur écoulement des produits frais, agricoles et d’élevage, sortis du parc agro-industriel de Bukanga-Lonzo. Cette nouvelle a été livrée à l’opinion hier, mercredi 24 septembre, par le Conseiller principal du Premier ministre chargé de l’Agriculture et développement rural. Le coût des travaux pour réaliser cette plate-forme moderne est de 95 millions de dollars américains.
L’Unicef et le gouvernement congolais, par le biais de la vice Primature et ministère du Budget, organisent ce jeudi 25 septembre un atelier d’information sur la sensibilisation des populations sur les dépenses publiques et sur l’importance de la prise en compte de la dimension » enfant » dans les questions budgétaires sous le thème » Comment accroitre les ressources pour donner de meilleures opportunités aux enfants congolais ? « . Les budgets et les financements publics sont l’affaire de tous les citoyens congolais, y compris les enfants et les jeunes.
Environ 43% d’enfants de moins de 5 ans souffrent de la malnutrition chronique en République démocratique du Congo (RDC). Le directeur du programme national de nutrition (Pronanut), Dr Jean Bameya, l’a affirmé mercredi 24 septembre au cours d’un atelier de consultation sur l’élaboration d’un plan global de nutrition. Pour le Dr Jean Bameya, les ménages congolais «mangent mal». « Dans la moitié des ménages des Congolais, c’est depuis plusieurs temps, on mange mal en terme de quantité et de qualité.
Deux cent cinquante-sept cas de violations de droits de l’homme ont été notifiés au mois d’août dernier en République démocratique du Congo (RDC). Le directeur du Bureau conjoint des Nations unies pour les droits de l’homme, Scott Campbell l’a affirmé mercredi 24 septembre lors de la conférence hebdomadaire des Nations unies organisée à Kinshasa. « Nous avons enregistré 50 cas de violences sexuelles dont 38 femmes et 12 filles.
Dix-sept personnes ont été kidnappées entre le 5 et le 27 août dans le territoire d’Ango, à plus de 500 kilomètres au Nord de Kisangani (Province Orientale).
Il a suffi que les Evêques catholiques confirment leur détermination de s’opposer,  ensemble avec leurs fidèles, à la révision des dispositions verrouillées de la Constitution pour que des techniciens de l’injure sortent du bois et les affublent de toutes les épithètes, les unes aussi infâmantes que les autres.  Le débat a désormais quitté  le terrain de l’intelligence pour descendre dans des caniveaux  de la calomnie.
Après la vague de braquages observés le mois dernier dans la ville de Kinshasa et qui visaient principalement les changeurs de monnaie et quelques boutiques, les bandits à mains armés ont relancé leurs activités criminelles en opérant, cette fois, en plein jour.          Mardi 23 septembre 2014.
Dix groupes de bandits à main armée ont été neutralisés hier mardi 23 septembre par la Police nationale congolaise et présentés au public dans la commune de Bandalungwa par le commissaire provincial de la ville de Kinshasa, le général Célestin Kanyama. Selon la radio onusienne qui rapporte le fait, une vingtaine de personnes parmi lesquelles trois femmes constituent la composition du groupe.
Par un arrêté vieux de plusieurs années et connu de tout le monde, l’autorité provinciale du Bas-Congo qui s’est référée des données techniques lui transmises jadis par les dirigeants de l’Organisation pour l’Equipement Banana – Kinshasa (OEBK) avait déterminé, dans la ville portuaire de Matadi, capitale de la province du Bas-Congo, une zone de protection du Pont Maréchal Mobutu.
La société civile de Songololo, dans le Bas-Congo, déplore l’augmentation des accidents de motos depuis plus d’un mois dans ce territoire à plus de 100 km à l’est de Matadi. La nuit du samedi 20 au dimanche 21 septembre encore, deux personnes sont mortes et deux autres portées disparues après que la moto qui les transportait a basculé dans la rivière Kwilu, à hauteur de la cité de Kwuilu Ngongo.