
La sagesse exige à ce qu'on garde silence quand on a rien à dire. De tous les gouverneurs de la troisième législature, c'est le seul qui a été réélu. Ceci n'est pas un fait du hasard, c'est le résultat du travail abattu en si peu de temps. En deux ans seulement, Lualaba devient la destination de tous ceux qui sont à la recherche du beau, de la paix, la tranquillité et surtout d'un bon climat des affaires.
Pourquoi certains politiques s'acharnent-ils autant contre Richard Muyej Mangez Mans? L'élégance en politique exige à ce qu'on puisse reconnaître le travail abattu par l'autre et surtout quand c'est le peuple qui en bénéficie. Richard Muyej l'a fait a l'endroit de Moïse Katumbi en 2014 lors de son déplacement à Kolwezi alors qu'il était Ministre de l'intérieur. Oui, il a félicité avec beaucoup d'élégances les dirigeants de cette époque. Si réellement le bonheur de la population constituait leur centre d'intérêt, on assisterait pas à des tels propos de la part de l'ancien gouverneur du Katanga.
Il ne s'agit pas d'une course encore moins d'une concurrence.
Comparer à huit ans passés, Lualaba aujourd'hui a un autre visage du développement. Le gouverneur Richard Muyej a réussi à offrir à sa population le respect qu'elle mérite. Tous les secteurs ont connu des avancées significatives. Ses administrés ont aujourd'hui droit à l'eau potable, l'énergie, l'éclairage public, l'emploi, la santé, la sécurité des administrés, les infrastructures qui correspondent aux richesses de la province. Et lors de son discours programme, le premier citoyen de la province avait promis de métamorphoser le Lualaba. "cette fois-ci, nous allons plus nous focaliser sur le Lualaba profond avec un double objectif à savoir : le développement de l'agriculture et du tourisme".
On se pose alors la question, avec tous ça, mérite-t-il un tel acharnement ou des encouragements ?
Faudrait-il travailler pour le peuple ou continuer à se pervertir dans l'enrichissement facile sans scrupule et dans la criminalité économique ?
Non ! L'heure est au travail et non aux polémiques et guerres inutile.
Le monde évolue et le Congo dans son entièreté doit faire avec cette évolution en confiant les responsabilités publiques aux citoyens serviteurs pour le bien être collectif comme le fait Richard Muyej au Lualaba.