La cérémonie d'échange des vœux de nouvel an entre les agents et cardes du ministère de la formation professionnelle, arts et métiers, a eu lieu le mercredi 29 janvier 2020 à Kinshasa.
À cette occasion, le ministre de tutelle John Ntumba a appelé tous ses administrés à retenir que 2020 est une année d'actions pour chacun d'eux.
"Je ne sais pas vous dire quelque chose pour l'instant, en terme des promesses. Mais ce que je veux, ce que chacun de nous puisse retenir que l'année 2020, comme l'a déclaré son excellence monsieur le président de la République, Félix Tshisekedi, est une année d'actions pour chacun de nous, une année d'actions pour notre ministère. Et que chacun sache que c'est une année qui lui appartient. Partout où il se trouve, chacun doit faire l'action pour le ministère", a-t-il déclaré.
Pour faire face aux différents problèmes que rencontre son institution, il a invité ses collaborateurs à cultiver l'amour et l'unité.
"Je préfère que nous puissions nous mettre tous ensemble main dans la main pour pouvoir trouver des solutions à ces problèmes. Regardons tous dans la même direction. Je suis convaincu que nous allons bien faire et nous allons traverser la rivière", a dit le minitre de la formation porfessionelle, arts et métiers.
John Ntumba a par ailleurs plaidé pour l'application de la loi des finances exercice 2020, afin de doter son ministère qui est, d'après lui, "le chéval de bataille du chef de l'Etat", des frais de fonctionnement.
"Notre souhait est que le budget qui est promulgué soit d'application pour que notre ministère puisse avoir un peu de souffle, pour que notre ministère puisse avoir un peu de frais de fonctionnement, pour que nos agents soient aussi payés", a-t-il indiqué.
S'agissant de la séparation du ministère de la formation professionnelle de celui de l'Enseignement Primaire, Secondaire et Technique (EPST), il a dit attendre les ordonnances du président de la République qui vont déterminer les attributions de chaque membre du gouvernement. Entre temps, a-t-il poursuivi, les agents ne doivent pas croiser les bras mais plutôt continuer à travailler pour faire de ce ministère est une institution exemplaire.
Elysée Odia et Prince Mayiro